Depuis le début du confinement, les entreprises ont dû adapter leurs activités pour fonctionner en "mode dégradé". Rester en activité avec beaucoup moins de personnels pour le faire. Un défi que Guadeloupe la 1ère relève chaque jour pour vous informer et assurer sa mission de service public.
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Pas facile pour un téléspectateur ou un auditeur de comprendre les changements intervenus dans les programmes de la radio ou de la télévision depuis bientôt un mois. Des horaires différents pour certaines émissions, voire même, des suppressions de séries en télévision, des tranches d'animation où l'on ne sait pas toujours qui sera l'animateur, en tout cas, pas forcément celui ou celle qu'on avait l'habitude d'entendre.... Le coronavirus et sa conséquence immédiate, le confinement, sont passés par là.
Dès le début de la crise, Nadine Félix, la directrice régionale, est venue expliquer l'obligation qui lui était faite de réduire la voilure pour ne garder sur le site que des fonctions primordiales. La plus part des agents de la station sont désormais en télétravail depuis leur domicile. Le but attendu est surtout d'avoir le moins de monde possible sur le site et malgré tout, assurer au mieux la mission de service public des médias de la station. Première conséquence de ce nouveau mode de fonctionnement, les programmes télévisés des quatre stations de l'Atlantique sont uniformisés et partent désormais du siège des 1ères à Malakoff. Une mesure qui permet, dans les quatre stations, de réduire le nombre de personnes affectées à la réception et à la diffusion des programmes.
Et ceux qu'on ne voit pas, ce sont aussi tous les personnels qui, de chez eux, continuent à faire fonctionner la station, tous les journalistes qui, en respectant les règles de sécurité sanitaire, sont encore sur le terrain pour retransmettre la vie de la Guadeloupe sur tous les supports de la station, télé, radio et Internet. Parce que pendant le confinement, et peut-être encore plus, la mission de service public de Guadeloupe La 1ère prend tout son sens. A(re)voir le reportage d'Emmanuel Gombauld, Rodrigue Lami et Ronhy Malety :
Dès le début de la crise, Nadine Félix, la directrice régionale, est venue expliquer l'obligation qui lui était faite de réduire la voilure pour ne garder sur le site que des fonctions primordiales. La plus part des agents de la station sont désormais en télétravail depuis leur domicile. Le but attendu est surtout d'avoir le moins de monde possible sur le site et malgré tout, assurer au mieux la mission de service public des médias de la station. Première conséquence de ce nouveau mode de fonctionnement, les programmes télévisés des quatre stations de l'Atlantique sont uniformisés et partent désormais du siège des 1ères à Malakoff. Une mesure qui permet, dans les quatre stations, de réduire le nombre de personnes affectées à la réception et à la diffusion des programmes.
Vous informer, notre mission première !
Restait ensuite à assumer la tache primordiale de la station : Informer. La confection des journaux télévisés est ce qui demande le plus de personnel au quotidien. L'idée a donc été d'utiliser les moyens de la radio et en particulier son studio pour assurer chaque jour tous les rendez-vous d'information en radio et en télévision.Et ceux qu'on ne voit pas, ce sont aussi tous les personnels qui, de chez eux, continuent à faire fonctionner la station, tous les journalistes qui, en respectant les règles de sécurité sanitaire, sont encore sur le terrain pour retransmettre la vie de la Guadeloupe sur tous les supports de la station, télé, radio et Internet. Parce que pendant le confinement, et peut-être encore plus, la mission de service public de Guadeloupe La 1ère prend tout son sens. A(re)voir le reportage d'Emmanuel Gombauld, Rodrigue Lami et Ronhy Malety :