C’est aujourd’hui la Journée Mondiale Parkinson. En Guadeloupe, un peu moins de mille personnes souffriraient de la maladie de Parkinson.
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Lenteur dans les mouvements, tremblements au repos, raideurs, troubles de l’équilibre… les symptômes sont bien connus. La maladie de Parkinson est une affection dégénérative. Elle constitue en outre une cause majeure de handicap, chez le sujet âgé, avec un pic autour de 70 ans. Selon l’INSERM, 1% des plus de 65 ans sont concernés, les hommes autant que les femmes. Au total, entre 100 000 et 120 000 personnes sont touchées en France et environ 8 000 nouveaux cas se déclarent, chaque année. En Guadeloupe, près d'un milliers de personnes souffrent de cete pathologie
La lésion fondamentale est la dégénérescence d’un certain type de neurones : les neurones dopaminergiques.
Ces neurones produisent de la dopamine, qui est une des substances neurotransmettrices du système nerveux. Elle intervient notamment au niveau de neurones responsables du contrôle des mouvements du corps. Il y a, lors de la maladie de Parkinson, un déficit en dopamine dans le cerveau et cela se manifeste par des troubles des mouvements.
En Guadeloupe nous avons une forme particulière de cette maladie neurodégénérative. Ce qu’on appelle « le Parkinson caribéen » qui –en plus- résiste aux traitements habituels.
Cette année, il sera question de la maladie de Parkinson lors des « Handi Days » au complexe sportif de la Plaine à Grand Camp à Pointe-à-Pître, vendredi 12 et samedi 13 avril. C'est-à-dire demain et après demain.
De fait, un comité local de « France Parkinson » devrait voir le jour très prochainement en Guadeloupe.
Cette maladie fut décrite pour la première fois par James Parkinson, (1755-1824), médecin Anglais, en 1817 sous le nom de "Paralysie agitante".
C'est le docteur Charcot (1825-1893), médecin Français à l'hôpital de la Salpêtrière, qui lui donna son nom définitif de "Maladie de Parkinson".
La date du 11 Avril, anniversaire de la naissance de James Parkinson, est devenue, depuis 1997, la Journée Mondiale du Parkinson.
L'EPDA (European Parkinson's Disease Association : Association Européenne du Parkinson) a choisi comme emblème la tulipe, créée par les Néerlandais, de couleur rouge et blanche et baptisée "James Parkinson".
Un déficit en dopamine dans le cerveau
La lésion fondamentale est la dégénérescence d’un certain type de neurones : les neurones dopaminergiques.
Ces neurones produisent de la dopamine, qui est une des substances neurotransmettrices du système nerveux. Elle intervient notamment au niveau de neurones responsables du contrôle des mouvements du corps. Il y a, lors de la maladie de Parkinson, un déficit en dopamine dans le cerveau et cela se manifeste par des troubles des mouvements.
En Guadeloupe nous avons une forme particulière de cette maladie neurodégénérative. Ce qu’on appelle « le Parkinson caribéen » qui –en plus- résiste aux traitements habituels.
Cette année, il sera question de la maladie de Parkinson lors des « Handi Days » au complexe sportif de la Plaine à Grand Camp à Pointe-à-Pître, vendredi 12 et samedi 13 avril. C'est-à-dire demain et après demain.
Claude CABROL, directrice adjointe de « France Parkinson »
Cette maladie fut décrite pour la première fois par James Parkinson, (1755-1824), médecin Anglais, en 1817 sous le nom de "Paralysie agitante".
C'est le docteur Charcot (1825-1893), médecin Français à l'hôpital de la Salpêtrière, qui lui donna son nom définitif de "Maladie de Parkinson".
La date du 11 Avril, anniversaire de la naissance de James Parkinson, est devenue, depuis 1997, la Journée Mondiale du Parkinson.
L'EPDA (European Parkinson's Disease Association : Association Européenne du Parkinson) a choisi comme emblème la tulipe, créée par les Néerlandais, de couleur rouge et blanche et baptisée "James Parkinson".