Dans son jugement publié au début du mois de février, le Tribunal administratif a choisi de récuser tous les arguments qui avaient motivé en mars 2021 la décision du conseil d’administration du MACTe de relever Laurella Riçon de ses fonctions. Laurella Rinçon se voit même justifiée d’avoir souhaité en 2020 qu'un audit soit fait sur le fonctionnement passé du MACTe, « avec une attention particulière sur les surfacturations »
Justifiée aussi d’avoir réclamé 400 000 euros de recettes d’exposition, que la régie de la Région avaient omis de reverser au MACTe. Une enquête a d'ailleurs été ouverte par le Parquet sur ces deux faits.
Enfin, le tribunal considère qu'aucune irrégularité financière ne peut-être reprochée à Laurella Rinçon tout comme la crise sociale qui perdure au sein de l'établissement, entraînant sa fermeture durant onze mois.
Rappelons d'ailleurs qu'en septembre dernier, en procédure d’urgence le tribunal avait obtenu la réintégration de Laurella Rinçon en raison précisément des soupçons d’irrégularités qui pesaient sur la procédure de licenciement.
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