Un texte de loi visant à encadrer, et peut-être même interdire, les publicités pour les produits jugés nuisibles pour l’environnement serait à l’étude, par la ministre de la Transition écologique. Il vise la publicité pour nos territoires, notamment, sur les écrans.
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Ce projet de loi de Barbara Pompili inquiète les annonceurs, risque de faire couler beaucoup d'encre et cristalliser la colère des acteurs du tourisme de nos destinations.
Un texte qui vise au mieux à encadrer, au pire, à interdire purement et simplement les publicités qui auraient des effets nuisibles sur l'environnement, ou encore sur la santé.
La ministre de la Transition écologique s'est exprimée, dimanche 20 septembre, dans le Journal du dimanche. Directement visés, selon l'hebdomadaire, les véhicules thermiques particulièrement polluants, les pâtes à tartiner et les offices de tourisme de nos régions.
C'est ce que juge, en tout cas, la ministre de la Transition écologique, en raison du trajet en avion pour rejoindre l'archipel guadeloupéen ou l'île soeur, depuis l'Hexagone. Un trajet trop long en avion et donc trop gourmand en énérgie fossile et donc nocif pour la planète.
C'est donc un carton jaune, voire rouge pour la promotion de nos destinations, à travers des spots télévisés.
En effet, Barbara Pompili devrait déposer un projet de loi, d'ici quelques semaines. Il vise à encadrer ou tout simplement interdire des publicités télévisées promouvant des produits qui polluent la planète. Ainsi, des campagnes pour des marques comme Nutella ou Mc Donald's, mais aussi la destination Martinique ou Guadeloupe pourraient bien disparaître du petit écran.
Cette décision pourrait, bien sûr, toucher tous les territoires d'Outre-mer.
Une décision lourde de sens pour la publicité qui a subi de lourdes pertes ces derniers mois et qui pourrait aussi avoir des conséquences sur le tourisme dont dépendent grandement nos territoires.
On peut donc s'attendre à une levée de boucliers des acteurs du secteur.
Un texte qui vise au mieux à encadrer, au pire, à interdire purement et simplement les publicités qui auraient des effets nuisibles sur l'environnement, ou encore sur la santé.
La ministre de la Transition écologique s'est exprimée, dimanche 20 septembre, dans le Journal du dimanche. Directement visés, selon l'hebdomadaire, les véhicules thermiques particulièrement polluants, les pâtes à tartiner et les offices de tourisme de nos régions.
Les destinations outre-mer désavantagées par rapport aux territoires hexagonaux ?
Les destinations Guadeloupe ou Martinique ne seraient-elles pas logées à la même enseigne que la Bretagne ou encore l'Occitanie ?C'est ce que juge, en tout cas, la ministre de la Transition écologique, en raison du trajet en avion pour rejoindre l'archipel guadeloupéen ou l'île soeur, depuis l'Hexagone. Un trajet trop long en avion et donc trop gourmand en énérgie fossile et donc nocif pour la planète.
C'est donc un carton jaune, voire rouge pour la promotion de nos destinations, à travers des spots télévisés.
En effet, Barbara Pompili devrait déposer un projet de loi, d'ici quelques semaines. Il vise à encadrer ou tout simplement interdire des publicités télévisées promouvant des produits qui polluent la planète. Ainsi, des campagnes pour des marques comme Nutella ou Mc Donald's, mais aussi la destination Martinique ou Guadeloupe pourraient bien disparaître du petit écran.
Cette décision pourrait, bien sûr, toucher tous les territoires d'Outre-mer.
Une décision lourde de sens pour la publicité qui a subi de lourdes pertes ces derniers mois et qui pourrait aussi avoir des conséquences sur le tourisme dont dépendent grandement nos territoires.
On peut donc s'attendre à une levée de boucliers des acteurs du secteur.