C'est peut-être l'un de tous les exercices de résilience auxquels Marie-Galante est régulièrement soumise. Aux mêmes maux que le reste de la Guadeloupe, elle doit répondre intelligemment par d'autres moyens. Et en la matière, l'île a depuis longtemps compris qu'il vaut mieux prévenir que guérir.
Et c'est précisément le cas de dire pour ces manques chroniques de médicaments qui se répercutent avec plus d'acuité à Marie-Galante.
Mais justement, sur ce sujet, prévenir demande une constante organisation en amont, avec les médecins pour les médicaments qu'ils prescrivent ou en aval en constituant des stocks strictement gérés pour faire face aux éventualités.
Constat fait sur place par Lise Domare.
A voir ou à revoir.