Des travaux évalués à quelques trois millions d'Euros, pour la piste de 1200m. Objectif : la reprise des vols commerciaux, interrompus depuis plus de quinze ans.
Aujourd'hui, seuls les avions de tourisme peuvent atterrir aux Basses.
La collectivité régionale, en charge du transport, est quasiment en demeure d'assumer ce service public. Elle devra ensuite lancé un appel d'offre en direction des compagnies aériennes pour assurer les rotations aériennes sur la destination. Destination vitale pour le développement économique de Marie-Galante.
Toutes les études ont montré que la rentabilité est au centre du problème de cette aérogare, avec la concurrence des vedettes rapides. Et il faut surtout espérer un retour des Marie-Galantais à l'aérien.
Le projet à l'étude doit être économiquement viable et attractif. Plusieurs propositions sont déjà sur la table.
Marie-Galante terre d'escale pour les vols en direction de la Martinique ou encore des vols après 19h00 grâce au balisage prévu de la piste, notamment pour les correspondances pour les vols transatlantiques.
Une offre du transport aérien complémentaire du maritime, en particulier pour le développement du tourisme.
Beaucoup croient en la relance du transport aérien sur l'île, indispensable pour le désenclavement de Marie-Galante par rapport au reste de la Caraïbe.
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