Depuis plusieurs mois, les riverains de la station d'épuration située au quartier d’Acajou au Lamentin se plaignent des odeurs dégagées par le site, des odeurs qui émanent d'un bac de recouvrement situé en aval de cette station.
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Odeurs, inconforts, les habitants du quartier d’Acajou au Lamentin souhaitent être définitivement épargnés par ces nuisances.
Au cœur du problème : des odeurs nauséabondes ressenties sur la portion d'autoroute au niveau de la zone des Mangles-Acajou et conséquence logique, l’air y est irrespirable. Elles proviennent du bac de recouvrement de la station d'épuration. Plusieurs fois interpellé et conscient du problème, le maire du Lamentin, président de la CANBT a tenu à aller à la rencontre des riverains pour les écouter et surtout, tenter de leur apporter des solutions. Un petit pas pour les riverains qui préfèrent voir ce qui est fait vraiment avant de se prononcer
La législation sur l’air inscrite dans le code de l’environnement, reconnaît comme pollution à part entière "toute substance susceptible de provoquer des nuisances olfactives ». De multiples activités peuvent être à l’origine des mauvaises odeurs ressenties par les riverains : l’équarrissage, la fabrication d’engrais, le stockage et le traitement des déchets, la fabrication de pâte à papier, le raffinage, l’épuration, l’élevage. Mais, dans la plupart des cas, les gaz malodorants ne sont pas dangereux pour la santé publique.
Au cœur du problème : des odeurs nauséabondes ressenties sur la portion d'autoroute au niveau de la zone des Mangles-Acajou et conséquence logique, l’air y est irrespirable. Elles proviennent du bac de recouvrement de la station d'épuration. Plusieurs fois interpellé et conscient du problème, le maire du Lamentin, président de la CANBT a tenu à aller à la rencontre des riverains pour les écouter et surtout, tenter de leur apporter des solutions. Un petit pas pour les riverains qui préfèrent voir ce qui est fait vraiment avant de se prononcer
Pas de danger pour la santé
La législation sur l’air inscrite dans le code de l’environnement, reconnaît comme pollution à part entière "toute substance susceptible de provoquer des nuisances olfactives ». De multiples activités peuvent être à l’origine des mauvaises odeurs ressenties par les riverains : l’équarrissage, la fabrication d’engrais, le stockage et le traitement des déchets, la fabrication de pâte à papier, le raffinage, l’épuration, l’élevage. Mais, dans la plupart des cas, les gaz malodorants ne sont pas dangereux pour la santé publique.