L'Etat, la Région et le Département ainsi que les représentants de la filière canne de Marie-Galante étaient réunis ce matin à l'espace régional du Raizet, aux Abymes, afin de discuter des difficultés rencontrées par les planteurs. L'ouverture de la récolte a été décidée.
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Le Préfet de la Région Guadeloupe, Jacques Billant, le Député et Président du Conseil régional, Ary Chalus, et la Présidente du Conseil départemental, Josette Borel-Lincertin, ont procédé ce lundi à la signature d’une nouvelle convention prolongeant les engagements signés en 2012 et fixant les modalités de soutien de l’État et des collectivités territoriales à l’usine sucrière et à la filière canne de Marie-Galante.
Dans un communiqué commun, les trois éxécutifs indiquent vouloir "rapprocher les points de vue" et qu'ils se sont engagés à "soutenir le projet de central thermique de cogénération adossée à l’usine sucrière et dimensionnée aux exigences de sa modernisation et, en particulier, à sa mise aux normes environnementales. État, Région et Département réaffirment qu’il n’y a aucune incompatibilité entre le projet d’avenir de l’usine sucrière de Marie-Galante et la démarche « Marie- Galante, île durable » qu’ont choisis les élus de Marie-Galante.
La récolte peut enfin commencer
Cette convention, en prévoyant le versement rapide des aides publiques de l’État et de la Région à la SA SRMG (Sucreries et Rhumeries de Marie-Galante), permet le lancement de la récolte sucrière et, au-delà, la pérennisation de la filière canne et de ses nombreux emplois à Marie-Galante.Réunion boudée par les maires marie-galantais
La rencontre s'est tenue sans la Présidente de la Communauté des communes et maire de Grand-Bourg, Maryze Etzol etsans les autres maires de Marie-Galante, Marlène Miraculeux-Bourgeois et Jacques Cornano.Dans un communiqué commun, les trois éxécutifs indiquent vouloir "rapprocher les points de vue" et qu'ils se sont engagés à "soutenir le projet de central thermique de cogénération adossée à l’usine sucrière et dimensionnée aux exigences de sa modernisation et, en particulier, à sa mise aux normes environnementales. État, Région et Département réaffirment qu’il n’y a aucune incompatibilité entre le projet d’avenir de l’usine sucrière de Marie-Galante et la démarche « Marie- Galante, île durable » qu’ont choisis les élus de Marie-Galante.