Un homme, lui aussi rescapé de ce naufrage de lundi dernier, a été interpellé. Il est soupçonné d’être le passeur de ces 26 clandestins présumés.D’origine dominicaise, il a été en placé en garde à vue.
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Les enquêteurs tentent de savoir quelles ont été les intentions de ces personnes, quelle était leur destination, le mode opératoire et est-ce la preuve de l'existence d'une filière d’immigration clandestine. Là c’est pour la partie procédure judiciaire.
Côté décision administrative, la préfecture, autorité en la matière, a pris des mesures fermes. Les 27 naufragés secourus sur cette embarcation au large de Deshaies et Sainte-Rose lundi dernier, ont immédiatement été pris en charge et placés en zone d’attente. Parmi eux, 8 femmes dont une enceinte.
Cette zone d’attente c'est l’aéroport international Pôle Caraïbes, comme peut le prévoir désormais la loi asile et immigration de 2018.
En clair, à défaut de présentation de visa, il leur a été notifié leur refus d’entrée sur le territoire français. Une procédure dite de non admission ou de refoulement à la frontière. Ces personnes peuvent faire un recours au tribunal administratif. Un recours en annulation de la décision. Des procédures de référé liberté peuvent être lancées, tout comme des demandes d’asile.
Le maintien en zone d’attente peut durer jusqu’à 26 jours.
Côté décision administrative, la préfecture, autorité en la matière, a pris des mesures fermes. Les 27 naufragés secourus sur cette embarcation au large de Deshaies et Sainte-Rose lundi dernier, ont immédiatement été pris en charge et placés en zone d’attente. Parmi eux, 8 femmes dont une enceinte.
Cette zone d’attente c'est l’aéroport international Pôle Caraïbes, comme peut le prévoir désormais la loi asile et immigration de 2018.
En clair, à défaut de présentation de visa, il leur a été notifié leur refus d’entrée sur le territoire français. Une procédure dite de non admission ou de refoulement à la frontière. Ces personnes peuvent faire un recours au tribunal administratif. Un recours en annulation de la décision. Des procédures de référé liberté peuvent être lancées, tout comme des demandes d’asile.
Le maintien en zone d’attente peut durer jusqu’à 26 jours.