Prévenir la radicalisation

Devant la préfecture de police de Paris, le 3 octobre 2019.
Cinq personnes ont été interpellées ce matin dans le dossier de l’attaque du commissariat de police de Paris, il y a dix jours. Une affaire qui a mis en lumière la nécessité pour les services de sécurité de porter une attention particulière à tout signe de radicalisation dans leurs rangs
Ce lundi matin, les forces de l’ordre ont procédé à plusieurs interpellations de proches de l’auteur présumé de cette attaque meurtrière perpétrée par un martiniquais de 45 ans agent administratif de la direction du renseignement de la police nationale. Les enquêteurs ont agit simultanément dans plusieurs villes du Val d’Oise en région parisienne. Il s’agirait de personnes proches de l’auteur présumé.
Des questions se posent sur la prévention et la sécurité au sein même des services de sécurité. En Guadeloupe aussi. Comme dans l’hexagone, la prévention de la radicalisation est un axe majeur de lutte contre la radicalisation au sein des services de l’Etat.

Sabry Hani, le directeur de cabinet du préfet de région, en charge des questions de sécurité.

Sabry Hani, le directeur de cabinet du préfet de région

La formation est aussi un élément important.

Sabry Hani, le directeur de cabinet du préfet de région