Quatre femelles lémuriens Makis Cattas ont fait leur entrée au zoo de Guadeloupe. Elles arrivent tout droit de Haute Vienne et sont originaires de Madagascar.
C'est une espèce rare, qui a fait son entrée au zoo de Guadeloupe, vendredi 14 août 2020 : quatre femelles Makis Cattas ont été accueillies, sur place. Elles ont été envoyées du Parc Zoologique du Reynou, près de Limoges (Haute Vienne).
Ces lémuriens, originaires de Madagascar, appartiennent à une espèce particulièrement menacée. Leur transfert s'inscrit, donc, dans un programme de protection et d'échange entre zoos.
Le fait est que le climat tropical leur conviendra mieux que celui de la France hexagonale.
D'ailleurs dès leur arrivée, les Makis Cattas ont eu l'air de s'adapter très vite. Déjà logées dans un espace qui leur est spécifiquement dédié, elles n'ont pas eu besoin d'une phase de transition, pour être installées.
Un transfert qui s'est globalement bien passé. Ces dames étaient très attendues, par les équipes du zoo de Guadeloupe, qui leur ont fait la fête, dès leur arrivée :Désormais, elles n'attendent plus que les visiteurs !
Paola Dviali se réjouit de la bonne forme des nouvelles venues. La vétérinaire du zoo de Guadeloupe répond à Rémy Defrance :
Ces lémuriens, originaires de Madagascar, appartiennent à une espèce particulièrement menacée. Leur transfert s'inscrit, donc, dans un programme de protection et d'échange entre zoos.
Le fait est que le climat tropical leur conviendra mieux que celui de la France hexagonale.
D'ailleurs dès leur arrivée, les Makis Cattas ont eu l'air de s'adapter très vite. Déjà logées dans un espace qui leur est spécifiquement dédié, elles n'ont pas eu besoin d'une phase de transition, pour être installées.
Un transfert qui s'est globalement bien passé. Ces dames étaient très attendues, par les équipes du zoo de Guadeloupe, qui leur ont fait la fête, dès leur arrivée :Désormais, elles n'attendent plus que les visiteurs !
Paola Dviali se réjouit de la bonne forme des nouvelles venues. La vétérinaire du zoo de Guadeloupe répond à Rémy Defrance :