Dès le mois de mars, les premiers signes de la sécheresse et de ses effets étaient déjà visibles. Ils avaient d'ailleurs entrainé la publication par le préfet d'un arrêté pour en restreindre les effets. Arrêté prolongé un mois plus tard. Mais pour les agriculteurs, les pertes commencent à chiffrer.
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Partout en Grande-Terre les paysages desséchés ont pris la place des vergers verdoyants. Ici et là, des fruits et des feuilles brûlés témoignent de la volonté des agriculteurs de braver les éléments et d'oser y croire, mais ils permettent aussi d'évaluer l'importance de leur frustration.
La Préfecture a bien cru devoir garantir cette ressource pour conforter les agriculteurs.
De fait, pour les usages domestiques, l’arrêté prévoit notamment d'encadrer l’arrosage des potagers et des espaces verts, le lavage des véhicules, terrasses ou façades, ou encore la mise à niveau des piscines. Ces restrictions concernent d'ailleurs l’ensemble de la Guadeloupe, à l’exception de l’île de Marie-Galante.
Mais cela n'a pas suffit. Et pour les agriculteurs, ils ne peuvent ni planter, ni récolter. Et la pandémie n'a rien arrangé. Aujourd'hui, la Chambre d'Agriculture se prépare à réaliser une enquête de terrain pour évaluer la situation et surtout, chiffrer les pertes
De fait, pour les usages domestiques, l’arrêté prévoit notamment d'encadrer l’arrosage des potagers et des espaces verts, le lavage des véhicules, terrasses ou façades, ou encore la mise à niveau des piscines. Ces restrictions concernent d'ailleurs l’ensemble de la Guadeloupe, à l’exception de l’île de Marie-Galante.
Mais cela n'a pas suffit. Et pour les agriculteurs, ils ne peuvent ni planter, ni récolter. Et la pandémie n'a rien arrangé. Aujourd'hui, la Chambre d'Agriculture se prépare à réaliser une enquête de terrain pour évaluer la situation et surtout, chiffrer les pertes