L’entreprise guadeloupéenne STMI revendique la paternité du Sargator. Elle a breveté le tapis conçu pour collecter les algues en mer et porte plainte contre la société vendéenne qui a vendu le bateau testé cette semaine en Martinique.
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L’arrivée du Sargator en Martinique a fait naître une polémique. Un bateau, baptisé "Lougarou", a été testé mercredi au Robert (commune située à l'est de l'île), pour ramasser des sargasses en mer.
A (re) voir le reportage d'Eric Rayapin et Jean-Marie-Mavounzy :
L’entreprise vendéenne n’a pas réagi pour l’heure, mais le nouveau test, qui été prévu hier, vendredi, a été annulé. La société STMI, elle, poursuit ses recherches, pour mettre au point un "Sargator 2", qui, avec un bateau plus gros, pourrait collecter près de 40 tonnes d’algues par heure.
A qui appartient la propriété intellectuelle de l'outil ?
Avec une capacité de 6 tonnes par heure. D’une valeur de près de 300 000 euros, l’engin a été acheté par la municipalité à une entreprise vendéenne (Navalu). Mais voilà, le tapis qui permet de collecter ainsi les algues n’aurait pas été conçu par cette société, mais par l’entreprise guadeloupéenne STMI… Son directeur accuse la société hexagonale de piratage industriel et il va déposer plainte.A (re) voir le reportage d'Eric Rayapin et Jean-Marie-Mavounzy :
L’entreprise vendéenne n’a pas réagi pour l’heure, mais le nouveau test, qui été prévu hier, vendredi, a été annulé. La société STMI, elle, poursuit ses recherches, pour mettre au point un "Sargator 2", qui, avec un bateau plus gros, pourrait collecter près de 40 tonnes d’algues par heure.