Depuis quelques mois, une nouvelle mode fleurit sur la toile… Les célébrités féminines les plus influentes du moment telles Rihanna, Kendall Jenner, Miley Cyrus s’y adonnent et convertissent avec elles une grande partie de leurs fans. Il s’agit du sans soutien-gorge ou "braless".
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C’est la nouvelle tendance, et elle fait de plus en plus d’adeptes.
Pourquoi de plus en plus de femmes ou jeunes femmes se laissent tenter par ce nouveau style ? La réponse serait simple, parce que c’est confortable !
"Je me sens libérée et délivrée d’un poids. Pourquoi se complexer avec autant d’engins, alors qu’au final, le naturel gagne.", Cassandra, 18 ans
"Je me suis rendue compte que sans porter de soutien, ma poitrine remonte et devient plus ferme. Je veux garder de beaux seins toute ma vie.", Christie, 18 ans
"J’ai pris l’habitude de ne pas en mettre, par rapport à ma petite poitrine. Sans, je respire mieux et je suis moins gênée dans mes mouvements", Patricia, 44 ans
"A cause de ma poitrine, lorsque je porte un soutien, je souffre de douleurs au cou et aux épaules", Elodie, 25 ans
Pour certaines, cette mode serait presque une évidence. A l'instar de Rihanna, Kim Kardashian, Miley Cyrus, Kristen Stewart ou encore Zoë Kravitz, elles ont choisi de laisser cet "instrument de torture" au placard.
Le soutien-gorge est un poids dont elles voudraient se débarrasser. Il est en trop et irait même contre la nature. Ça ne serait plus une simple mode et deviendrait un mode de vie.
Pour d’autres, c’est un moyen de discriminer les femmes et d'agrandir le fossé entre homme et femme. D’où, la naissance de mouvements contre le soutien gorge.
Ainsi, le mouvement "Free the nipple", revendique l’égalité homme-femme, en posant la question : "pourquoi les hommes pourrait-ils s’exhiber le torse nu sans aucun soucis, alors que les femmes ne le pourraient pas ?".
Alors qu’en 1970, les féministes brulaient déjà leurs soutiens-gorge en signe de protestation, aujourd’hui, elles ne lui prêtent plus aucune attention. Elles font disparaitre un élément de la différenciation des sexes. Elles clament haut et fort que le téton d’une femme et celui d’un homme ne sont pas si différents. Alors, pourquoi les femmes devraient cacher les leurs, et même se faire punir par la loi, pour exhibitionnisme, s’ils sont apparents ?
Dans la pensée populaire, les seins d’une femme ont un caractère sexuel et pas ceux de l'homme. A tel point, que même l'allaitement dans les lieux publics, un acte tellement naturel, dérange.
Dans cette étude, il affirme que le soutien-gorge ne serait d’aucune utilité pour les femmes, et qu’au contraire, participerait à la chute des seins. Il serait en fait un faux besoin, plus esthétique que pratique.
"Les seins se raffermissent et les vergetures s’estompent ; le mamelon remonte de 7 millimètres en moyenne après un an et on constate une amélioration en terme de respiration", affirme le professeur Rouillon. "La nature est bien faite ; Le sein n’est pas si fragile que ça, il est plutôt fragilisé par ce qu’on lui impose" ajoute t-il. Il émet également l’hypothèse que le soutien gorge, qui exerce une pression sur les seins, pourrait être la cause de diverses pathologies comme : le mal de dos, des épaules et du cou ainsi que des problèmes respiratoires et les vergetures.
Selon l’étude du professeur, tout porte à croire que le soutien-gorge est néfaste pour les femmes et leurs poitrines. Mais, pour l’instant, l’étude ayant été effectuée sur un échantillon de femmes trop mince, ne suffit pas à affirmer que la mode « braless » convient à toutes. Il faudra attendre qu’une étude à plus grande échelle soit effectuée, pour avoir des certitudes.
Pourquoi de plus en plus de femmes ou jeunes femmes se laissent tenter par ce nouveau style ? La réponse serait simple, parce que c’est confortable !
Elles l'ont adoptée
"Je me sens plus à l’aise, j’ai un poids en moins sur mes épaules ; Vive la liberté" affirme Stéphie, 18 ans"Je me sens libérée et délivrée d’un poids. Pourquoi se complexer avec autant d’engins, alors qu’au final, le naturel gagne.", Cassandra, 18 ans
"Je me suis rendue compte que sans porter de soutien, ma poitrine remonte et devient plus ferme. Je veux garder de beaux seins toute ma vie.", Christie, 18 ans
"J’ai pris l’habitude de ne pas en mettre, par rapport à ma petite poitrine. Sans, je respire mieux et je suis moins gênée dans mes mouvements", Patricia, 44 ans
"A cause de ma poitrine, lorsque je porte un soutien, je souffre de douleurs au cou et aux épaules", Elodie, 25 ans
Pour certaines, cette mode serait presque une évidence. A l'instar de Rihanna, Kim Kardashian, Miley Cyrus, Kristen Stewart ou encore Zoë Kravitz, elles ont choisi de laisser cet "instrument de torture" au placard.
Le soutien-gorge est un poids dont elles voudraient se débarrasser. Il est en trop et irait même contre la nature. Ça ne serait plus une simple mode et deviendrait un mode de vie.
Pour d’autres, c’est un moyen de discriminer les femmes et d'agrandir le fossé entre homme et femme. D’où, la naissance de mouvements contre le soutien gorge.
Le mouvement "Free the nipple"
Il ne faudrait surtout pas confondre la mode "braless", qui reste une mode vestimentaire ou un style de vie et les divers mouvements liés à la libération de la femme, qui eux défendent des causes.Ainsi, le mouvement "Free the nipple", revendique l’égalité homme-femme, en posant la question : "pourquoi les hommes pourrait-ils s’exhiber le torse nu sans aucun soucis, alors que les femmes ne le pourraient pas ?".
Alors qu’en 1970, les féministes brulaient déjà leurs soutiens-gorge en signe de protestation, aujourd’hui, elles ne lui prêtent plus aucune attention. Elles font disparaitre un élément de la différenciation des sexes. Elles clament haut et fort que le téton d’une femme et celui d’un homme ne sont pas si différents. Alors, pourquoi les femmes devraient cacher les leurs, et même se faire punir par la loi, pour exhibitionnisme, s’ils sont apparents ?
Dans la pensée populaire, les seins d’une femme ont un caractère sexuel et pas ceux de l'homme. A tel point, que même l'allaitement dans les lieux publics, un acte tellement naturel, dérange.
Et pour les seins ?
C’est encore compliqué à déterminer. Le Dr. Jean-Denis Rouillon est l’auteur de l’étude "Seins et Sport" qui enflamme la toile depuis quelques temps. Ce professeur de la faculté de médecine de Besançon, a étudié pendant 15 ans l’évolution de la poitrine de 300 femmes, toutes volontaires. Il s’est particulièrement penché sur 50 d’entre elles. Et les résultats qu’il a obtenu sont plutôt surprenants.Dans cette étude, il affirme que le soutien-gorge ne serait d’aucune utilité pour les femmes, et qu’au contraire, participerait à la chute des seins. Il serait en fait un faux besoin, plus esthétique que pratique.
L'arrêt de port du soutien n'est pas dangereux
Cela s’explique par le fait que les femmes habituent leurs poitrines à être soutenues. L’appareil suspenseur de la poitrine ne travaille plus efficacement, les seins deviennent moins fermes et la chute des seins (la ptose) est accélérée. Le professeur affirme que l’arrêt du soutien-gorge n’est pas dangereux, même pour les femmes ayant une forte poitrine, qui seraient plus réticentes à cette idée."Les seins se raffermissent et les vergetures s’estompent ; le mamelon remonte de 7 millimètres en moyenne après un an et on constate une amélioration en terme de respiration", affirme le professeur Rouillon. "La nature est bien faite ; Le sein n’est pas si fragile que ça, il est plutôt fragilisé par ce qu’on lui impose" ajoute t-il. Il émet également l’hypothèse que le soutien gorge, qui exerce une pression sur les seins, pourrait être la cause de diverses pathologies comme : le mal de dos, des épaules et du cou ainsi que des problèmes respiratoires et les vergetures.
Selon l’étude du professeur, tout porte à croire que le soutien-gorge est néfaste pour les femmes et leurs poitrines. Mais, pour l’instant, l’étude ayant été effectuée sur un échantillon de femmes trop mince, ne suffit pas à affirmer que la mode « braless » convient à toutes. Il faudra attendre qu’une étude à plus grande échelle soit effectuée, pour avoir des certitudes.