Deux départs de feu ont été constatés sur le site de l’église. Ce qui ne manque pas de susciter des commentaires sur les causes d’un dramatique incendie évité de justesse.
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Dans la nuit de lundi à mardi, vers 3h, une voisine donne l’alerte. Il y a le feu à l’église du Carmel. En peu de temps le quartier perd de sa constante quiétude diurne comme nocturne. Arrivés sur les lieux les premiers, les policiers se transforment en pompiers et parviennent pratiquement à circonscrire l’incendie.
Dans la foulée les soldats du feu parachèvent l’œuvre en parvenant rapidement à bout des flammes. L’église est sauvée mais des questions n’en demeurent pas moins. A commencer par le constat de deux départs de feu. Le premier à l’entrée, près des lumignons. Si cet espace précis peut accréditer l’hypothèse de l’accident, on ne peut en dire autant du feu constaté au niveau de l’autel.
Des pyromanes auraient-ils sévi ? L’enquête en cours devrait répondre à cette question. Elle devra aussi établir un lien ou non entre cet incendie et les véhicules vandalisés non loin de l’église.
Il n’empêche que cette nuit, l’église du Carmel a pu rapidement être sauvée des flammes grâce à la vigilance d’une voisine et à la promptitude des policiers et des pompiers de Basse-Terre.
Dans la foulée les soldats du feu parachèvent l’œuvre en parvenant rapidement à bout des flammes. L’église est sauvée mais des questions n’en demeurent pas moins. A commencer par le constat de deux départs de feu. Le premier à l’entrée, près des lumignons. Si cet espace précis peut accréditer l’hypothèse de l’accident, on ne peut en dire autant du feu constaté au niveau de l’autel.
Des pyromanes auraient-ils sévi ? L’enquête en cours devrait répondre à cette question. Elle devra aussi établir un lien ou non entre cet incendie et les véhicules vandalisés non loin de l’église.
Il n’empêche que cette nuit, l’église du Carmel a pu rapidement être sauvée des flammes grâce à la vigilance d’une voisine et à la promptitude des policiers et des pompiers de Basse-Terre.
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