Au terme d'une première étape de plus de 140 kilomètres, le sociétaire de l'entente Fewoss/UCS s'impose en solitaire à Capesterre. Le Martiniquais Mickael Stanislas endosse donc le premier maillot jaune de la compétition.
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Cette première étape du 42ème Tour cycliste de Marie-Galante a tenu toutes ses promesses. Dès les premiers kilomètres, les attaques fusent...
Et chacun souhaite bien figurer. Cela se vérifie dès les premiers coups de pédales.
Les Martiniquais montrent tout de suite le maillot. Hervé Arcade, du Madinina Bikers, Mickaël Laurent de l'entente Fewos/UCS sont tout de suite aux avant-postes.
Si plusieurs échappées tentent de se former, ce n'est qu'à Saint-Louis que les choses se dessinent. 11 hommes sont en tête : Sanchez Anzola, Arcade, Boyau, Alidor, Pastel, Duro, Turnes, Stanislas, Laurent, Maréchaux, Kwiatkowski roulent de concert.
Mais l'ascension de Lalanne, au kilomètre 76 fait des dégâts. Si certains sont décrochés, les autres s'accrochent, jusqu'à la montée de Balisier. Le groupe éclate. Stanislas sent qu'il y a un coup à jouer. Il passe en tête au sommet, suivi d'Anzola. Boyau essaie de suivre le rythme imposé par les deux hommes, mais peine perdue. C'est à deux que Stanislas et Anzola continuent leur périple.
Les deux hommes se jaugent... Peu de temps, puisque le Martiniquais décide de frapper un grand coup en attaquant avant la dernière difficulté de la journée, le morne Ducos. Anzola, victime de crampes ne peut suivre.
C'est donc en solitaire que Stanislas s'impose sur cette 1ère étape entre Capesterre et Capesterre.
Il a remporté le championnat sur route en mai dernier. Il y a dix jours, il devenait champion du contre-la-montre, en Martinique. Un beau doublé pour le coureur qui vient ajouter une nouvelle victoire à son palmarès. Une première en Guadeloupe. Il devance donc Edwin Sanchez Anzola, du CCD qui arrive avec 1'45 de retard et Giovanni Rousseau du CSCA, qui termine, lui, avec 2'32 (provisoire) de retard.
Un peloton qui sentant les choses se compliquer singulièrement a finalement décidé de réagir et combler près de 4 minutes sur les derniers kilomètres.
Tous peuvent souffler, rien n'est perdu... Le Tour ne fait que commencer...
Une belle première étape
136 coureurs au départ de la première étape. Ce cru 2018 du tour de la Grande galette s'annonce de bon augure.Et chacun souhaite bien figurer. Cela se vérifie dès les premiers coups de pédales.
Les Martiniquais montrent tout de suite le maillot. Hervé Arcade, du Madinina Bikers, Mickaël Laurent de l'entente Fewos/UCS sont tout de suite aux avant-postes.
Si plusieurs échappées tentent de se former, ce n'est qu'à Saint-Louis que les choses se dessinent. 11 hommes sont en tête : Sanchez Anzola, Arcade, Boyau, Alidor, Pastel, Duro, Turnes, Stanislas, Laurent, Maréchaux, Kwiatkowski roulent de concert.
Mais l'ascension de Lalanne, au kilomètre 76 fait des dégâts. Si certains sont décrochés, les autres s'accrochent, jusqu'à la montée de Balisier. Le groupe éclate. Stanislas sent qu'il y a un coup à jouer. Il passe en tête au sommet, suivi d'Anzola. Boyau essaie de suivre le rythme imposé par les deux hommes, mais peine perdue. C'est à deux que Stanislas et Anzola continuent leur périple.
Les deux hommes se jaugent... Peu de temps, puisque le Martiniquais décide de frapper un grand coup en attaquant avant la dernière difficulté de la journée, le morne Ducos. Anzola, victime de crampes ne peut suivre.
C'est donc en solitaire que Stanislas s'impose sur cette 1ère étape entre Capesterre et Capesterre.
L'un des favoris
Il était attendu... Il n'a pas déçu... Le coureur de l'USC, l'union cycliste spiritaine a tout gagné en Martinique, ces dernières semaines.Il a remporté le championnat sur route en mai dernier. Il y a dix jours, il devenait champion du contre-la-montre, en Martinique. Un beau doublé pour le coureur qui vient ajouter une nouvelle victoire à son palmarès. Une première en Guadeloupe. Il devance donc Edwin Sanchez Anzola, du CCD qui arrive avec 1'45 de retard et Giovanni Rousseau du CSCA, qui termine, lui, avec 2'32 (provisoire) de retard.
Le peloton se fait peur
Le peloton a vécu toute la course à distance. Dès les premières échappées, les écarts se sont creusés entre les hommes de tête et l'arrière de la course, atteignant même 6 minutes.Un peloton qui sentant les choses se compliquer singulièrement a finalement décidé de réagir et combler près de 4 minutes sur les derniers kilomètres.
Tous peuvent souffler, rien n'est perdu... Le Tour ne fait que commencer...