Un homme qui viole des truies, l’histoire parait incroyable pourtant en moyenne une centaine de cas similaires sont recensés au niveau national. En tout état de cause ces faits sont punis par la loi et il existe un texte régissant les droits des animaux.
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La déclaration universelle des droits de l'animal contient dix articles. Les deux premiers indiquent que tous les animaux ont des droits égaux à l'existence dans le cadre des équilibres écologiques. Cette égalité n'occulte pas la diversité des espèces et des individus. Il est aussi spécifié que toute vie animale a droit au respect. dans l'alinéa 1 du troisième article,le texte précise qu'aucun animal ne doit être soumis à de mauvais traitements où à des actes cruels. Dans cette déclaration il est encore souligné que l'expérimentation sur l'animal impliquant une souffrance physique ou psychique viole les droits de l'animal.
Le reportage de Thierry Stampfler et Franck Fernandes
Des actes qui entraînent la prison et le paiement d'amendes
Il faut également retenir que la personnalité juridique de l'animal et ses droits doivent être reconnus par la loi. S'agissant des peines encourues, le code pénal est clair : le fait, publiquement ou non, d'exercer des sévices graves ou de commettre un acte de cruauté envers un animal domestique ou apprivoisé ou tenu en captivité est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000€ d'amende.Le reportage de Thierry Stampfler et Franck Fernandes