Il mûrissait son projet depuis 6 ans, à l'arrivée avec "Les fables de Guyane", Pierre Appolinaire Stéphenson signe le plus gros tirage littéraire de l'année en Guyane avec près de 1000 exemplaires vendus un mois après la sortie de l'ouvrage. Itinéraire d'un succès.
"Les fables de Guyane" de Pierre Appolinaire Stéphenson présentées à la rentrée littéraire du 14 novembre dernier ont plu immédiatement au public. L'auteur ne cesse depuis de dédicacer son ouvrage qui est certainement le livre estampillé Guyane le plus offert pour ces fêtes de fin d'année.
Il faut dire que l'éditeur "Orphie", très intéressé par le produit, n'a pas lésiné pour que ces fables illustrées par la graphiste de talent, Marie Breuq prennent vie à l'intérieur d'un livre à couverture rigide en simili cuir rouge avec des lettres dorées. Véritablement de la belle ouvrage qui a conquis des lecteurs en quête d'une identification guyanaise originale.
Si l'on se réfère à d'illustres auteurs tels Jean de la Fontaine ou encore Esope, le fabuliste écrit sur les travers de la société dans laquelle il vit. Il fait passer des messages. Voilà ce que Pierre Appolinaire Stéphenson a voulu faire, lui que l'on connaissait poète mais pas encore fabuliste. Ancien enseignant et formateur tout au long de sa vie professionnelle, il s'est essayé à l'écriture d'un ouvrage pédagogique accessible à tous qui permette de créer un lien intergénérationnel, de favoriser la libération de la parole et de créer la discussion.
Cela lui a demandé un long travail de recherche sur le bestiaire guyanais, sur la biodiversité et beaucoup de réflexion pour tirer de chacun de ses petits récits des morales courtes qui s'adaptent parfaitement aux thèmes traités.
Ce sont ainsi 49 thématiques qui ont été évoquées. "Le tapir et la fourmi takoko" s'apparenterait aux pratiques politiciennes, la fable " Les fourmis-manioc" traiterait de l'addiction à l'alcool ou encore le "Perroquet et les caciques" s'appliquerait au problème des occupants sans titre et que faut-il penser du "Caïman qui voulait devenir blanc"? Mais chacun trouvera à la découverte de ces fables de quoi qualifier son quotidien.
Il faut dire que l'éditeur "Orphie", très intéressé par le produit, n'a pas lésiné pour que ces fables illustrées par la graphiste de talent, Marie Breuq prennent vie à l'intérieur d'un livre à couverture rigide en simili cuir rouge avec des lettres dorées. Véritablement de la belle ouvrage qui a conquis des lecteurs en quête d'une identification guyanaise originale.
Le tryptique de la fable : le bestiaire, le récit et la morale
Car il faut bien l'avouer l'idée de mettre en avant les animaux de Guyane pour illustrer les travers de notre société séduit. Un lecteur lettré dit de ces fables " c'est frais, moderne, sympa et malicieux!"Si l'on se réfère à d'illustres auteurs tels Jean de la Fontaine ou encore Esope, le fabuliste écrit sur les travers de la société dans laquelle il vit. Il fait passer des messages. Voilà ce que Pierre Appolinaire Stéphenson a voulu faire, lui que l'on connaissait poète mais pas encore fabuliste. Ancien enseignant et formateur tout au long de sa vie professionnelle, il s'est essayé à l'écriture d'un ouvrage pédagogique accessible à tous qui permette de créer un lien intergénérationnel, de favoriser la libération de la parole et de créer la discussion.
Cela lui a demandé un long travail de recherche sur le bestiaire guyanais, sur la biodiversité et beaucoup de réflexion pour tirer de chacun de ses petits récits des morales courtes qui s'adaptent parfaitement aux thèmes traités.
Ce sont ainsi 49 thématiques qui ont été évoquées. "Le tapir et la fourmi takoko" s'apparenterait aux pratiques politiciennes, la fable " Les fourmis-manioc" traiterait de l'addiction à l'alcool ou encore le "Perroquet et les caciques" s'appliquerait au problème des occupants sans titre et que faut-il penser du "Caïman qui voulait devenir blanc"? Mais chacun trouvera à la découverte de ces fables de quoi qualifier son quotidien.