L'école de Mirza à Cayenne n'ouvrira pas ses portes à la rentrée. De l'amiante a été découvert lors des travaux de rénovation. Les 370 élèves inscrits sont réaffectés à l’école Léodate Volmar. Une réunion d’information s’est tenue lundi 20 août.
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C’est donc finalement l’école Léodate Volmar à la cité Césaire à Cayenne qui va accueillir les 370 élèves de l’école Mirza. L’établissement est implanté dans la zone. Les nombreux parents venus assister ce lundi à la réunion d’information à la mairie de Cayenne sont en partie rassurés : leurs enfants seront scolarisés à la prochaine rentrée scolaire, en septembre.15 mobile-homes seront installés pour l’accueil des élèves à l’école Léodate Volmar dont l’effectif global avoisinera alors les 600 enfants.
Cependant de nombreuses interrogations restent en suspens notamment sur la problématique de l’amiante à l’école de Mirza. Certains veulent en savoir davantage sur les résultats du diagnostic sur la présence d’amiante ayant entraîné cette décision de fermeture. De nombreux parents ont estimé que les réponses n’étaient pas toujours claires et certains fustigent un manque de transparence.
La mairie dans ce dossier se défend d’avoir voulu cacher la vérité.
Une fermeture qui vient clore un feuilleton à rebondissement. La polémique a commencé en décembre 2018. Mi-décembre 2018, en effet, une fermeture temporaire de l’établissement est préconisée au moins jusqu’à la fin de l’année, pour permettre la réalisation de travaux de réhabilitation. Depuis plusieurs jours les enseignants de l’école exercent leur droit de retrait et dénoncent l’état d’insalubrité de l’école. Ils sont soutenus dans leur action par plusieurs parents d’élèves. Plus de trois millions d’euros sont alors débloqués par la mairie de Cayenne pour notamment entreprendre les travaux à Mirza. Finalement l’établissement restera fermée finalement jusqu’au 11 janvier.
Au mois de mai dernier des émanations jugées incommodantes par la communauté éducative sont à l’origine d’une nouvelle fermeture de l’école, dans l’attente de résultats d’analyses.
Depuis, l’établissement est en chantier et il y a quelques jours c’est la découverte d’amiante qui inquiète les syndicats. Ce lundi 20 août le maire souhaitait aborder avec les parents d’élèves : les aléas techniques rencontrés sur ce projet et leur présenter les solutions de substitution afin de garantir la rentrée des classes en septembre. Peut-être l’épilogue de cette série appelée Mirza.
L'inquiétude des parents
Cependant de nombreuses interrogations restent en suspens notamment sur la problématique de l’amiante à l’école de Mirza. Certains veulent en savoir davantage sur les résultats du diagnostic sur la présence d’amiante ayant entraîné cette décision de fermeture. De nombreux parents ont estimé que les réponses n’étaient pas toujours claires et certains fustigent un manque de transparence.La mairie dans ce dossier se défend d’avoir voulu cacher la vérité.
Les travaux révèlent la présence d'amiante
Une fermeture qui vient clore un feuilleton à rebondissement. La polémique a commencé en décembre 2018. Mi-décembre 2018, en effet, une fermeture temporaire de l’établissement est préconisée au moins jusqu’à la fin de l’année, pour permettre la réalisation de travaux de réhabilitation. Depuis plusieurs jours les enseignants de l’école exercent leur droit de retrait et dénoncent l’état d’insalubrité de l’école. Ils sont soutenus dans leur action par plusieurs parents d’élèves. Plus de trois millions d’euros sont alors débloqués par la mairie de Cayenne pour notamment entreprendre les travaux à Mirza. Finalement l’établissement restera fermée finalement jusqu’au 11 janvier.
Nouvelle fermeture en mai dernier
Au mois de mai dernier des émanations jugées incommodantes par la communauté éducative sont à l’origine d’une nouvelle fermeture de l’école, dans l’attente de résultats d’analyses.Depuis, l’établissement est en chantier et il y a quelques jours c’est la découverte d’amiante qui inquiète les syndicats. Ce lundi 20 août le maire souhaitait aborder avec les parents d’élèves : les aléas techniques rencontrés sur ce projet et leur présenter les solutions de substitution afin de garantir la rentrée des classes en septembre. Peut-être l’épilogue de cette série appelée Mirza.