Mardi 12 février 2019, les choses ont failli tourner vinaigre lors des négociations entre, Alex Fléret, le président de l’Ebène et les grévistes. Alors qu’un accord avait été trouvé au sujet de la salariée licenciée et sur la mise en place d’un plan de formation.
Séquestré ou restreint dans ses déplacements, le fait est qu’on a franchi un palier dans le rapport de force. C’est quand la direction a catégoriquement refusé de céder sur le versement de la prime Macron et sur le paiement intégral des jours de grève, que les salariés mobilisés ont vu rouge, ils ont alors décidé de limiter les déplacements d’Alex Fléret à l’intérieur des locaux. La direction ne veut payer que la moitié des sept jours non travaillés et refuse le versement d’une prime exceptionnelle.
Un peu plus tôt dans la matinée les acteurs du conflit avaient rencontré la CTG (Collectivité Territoriale) et l’Agence Régionale de Santé (ARS). On été même trouvé à un accord sur deux des quatre revendications. Selon le syndicat UTG, « on est parvenu à un accord très satisfaisant sur la formation », la direction s’est engagée à mettre en place un plan de formation et les chefs de service seront promus et accompagnés en interne. Au sujet de la salariée licenciée pour faute grave, elle ne veut pas être réintégrée, mais la direction s’est engagée à l’accompagner sur le plan social. Dans l’après-midi, Alex Fléret, a retrouvé plus de liberté dans ses déplacements après avoir convenu de retrouver le syndicat UTG, la CTG et l’ARS jeudi 14 février pour discuter des deux derniers points d’achoppements, le rendez-vous reste à confirmer.
Un peu plus tôt dans la matinée les acteurs du conflit avaient rencontré la CTG (Collectivité Territoriale) et l’Agence Régionale de Santé (ARS). On été même trouvé à un accord sur deux des quatre revendications. Selon le syndicat UTG, « on est parvenu à un accord très satisfaisant sur la formation », la direction s’est engagée à mettre en place un plan de formation et les chefs de service seront promus et accompagnés en interne. Au sujet de la salariée licenciée pour faute grave, elle ne veut pas être réintégrée, mais la direction s’est engagée à l’accompagner sur le plan social. Dans l’après-midi, Alex Fléret, a retrouvé plus de liberté dans ses déplacements après avoir convenu de retrouver le syndicat UTG, la CTG et l’ARS jeudi 14 février pour discuter des deux derniers points d’achoppements, le rendez-vous reste à confirmer.