Un procès très attendu se tient aujourd’hui. Le prêtre Henri Claude de la paroisse de Soula à Macouria doit comparaitre au Tribunal correctionnel de Cayenne. Il est accusé d’atteinte sexuelle sur un mineur de 13 ans.
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Le vendredi 08 avril, à 8 heures du matin, le curé Henri Claude de la paroisse du quartier de Soula à Macouria est placé en garde à vue. Un enfant de 13 ans l’accuse.
Le lundi précédent, la famille du jeune dénonce à l’évêque des faits de pédophilie. Dans la foulée, Emmanuel Laffont prend contact avec le curé Henri Claude le mercredi, il l’exhorte à se rendre à la gendarmerie, pour s’expliquer. L’homme d’église s'exécute et de lui-même, se rend à la gendarmerie de Macouria.
Deux versions s’affrontent. Celle de l’enfant, qui parle d’agression sexuelle. Et celle du prêtre, qui n’avoue aux gendarmes, rapporte le procureur, que des « câlins » et des « accolades ».
Le prêtre est placé en garde à vue ce même vendredi 08 avril, au matin. Deux jours plus tard, il reçoit une citation à comparaitre pour atteinte sexuelle, sur mineur de moins de 15 ans, il est placé sous contôle judiciaire. La justice assortit ce contrôle d’une interdiction d’entrer en contact avec la victime, de côtoyer des mineurs et de quitter la Guyane.
Le prêtre encourt une peine de 5 années de prison et 75 000 euros d’amende.
Le lundi précédent, la famille du jeune dénonce à l’évêque des faits de pédophilie. Dans la foulée, Emmanuel Laffont prend contact avec le curé Henri Claude le mercredi, il l’exhorte à se rendre à la gendarmerie, pour s’expliquer. L’homme d’église s'exécute et de lui-même, se rend à la gendarmerie de Macouria.
Deux versions s’affrontent. Celle de l’enfant, qui parle d’agression sexuelle. Et celle du prêtre, qui n’avoue aux gendarmes, rapporte le procureur, que des « câlins » et des « accolades ».
Le prêtre est placé en garde à vue ce même vendredi 08 avril, au matin. Deux jours plus tard, il reçoit une citation à comparaitre pour atteinte sexuelle, sur mineur de moins de 15 ans, il est placé sous contôle judiciaire. La justice assortit ce contrôle d’une interdiction d’entrer en contact avec la victime, de côtoyer des mineurs et de quitter la Guyane.
Le prêtre encourt une peine de 5 années de prison et 75 000 euros d’amende.