La mission de Soyouz est en cours mais il va falloir attendre pour connaître les conclusions de ce VS23.
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Ouf de soulagement ce matin au centre spatial guyanais. Le 23ème exemplaire de Soyouz s’est élancé de Sinnamary à 5 heures 54 comme prévu. Avec un retard de 24 heures dû à un incident technique intervenu en pleine phase de la séquence automatisée du système de lancement, Arianespace et son partenaire russe avaient joué la sécurité.
Reporté de 24 heures, ce VS23 a donc pu être opéré au petit matin en terre guyanaise. Pour l’heure, les écrans de contrôle sont scrutés par les ingénieurs et équipes techniques puisque cette mission du 18 décembre est prévue sur une durée de 4 heures et 1 minutes.
Le 23ème exemplaire de Soyouz doit placé sur orbite cinq satellites d’ici la fin de sa mission, soit aux environs de 11 heures (heure locale).
Deux satellites principaux, Cosmo-Skymed SG 1 et le télescope Cheops mais également trois nano-satellites sont « à bord », il s’agit de 12U Angels, du 3U EyeSat et de 3U OPS-Sat. Pour ce troisième tir avec le lanceur russe Soyouz de l’année, la pression est énorme et le monde de l’aérospatiale suit avec attention l’évolution de Soyouz.
Reporté de 24 heures, ce VS23 a donc pu être opéré au petit matin en terre guyanaise. Pour l’heure, les écrans de contrôle sont scrutés par les ingénieurs et équipes techniques puisque cette mission du 18 décembre est prévue sur une durée de 4 heures et 1 minutes.
Le 23ème exemplaire de Soyouz doit placé sur orbite cinq satellites d’ici la fin de sa mission, soit aux environs de 11 heures (heure locale).
Dernier tir de l'année suivi à l'international
Ce dernier tir de l’année au Centre spatial guyanais est suivi avec grande attention par les opérateurs et équipes internationales puisque l’Italie, la Suisse ou encore la France sont concernés par ce VS23. De nombreux médias internationaux sont représentés en salle Jupier et tous attendent le résultat de la mission.Deux satellites principaux, Cosmo-Skymed SG 1 et le télescope Cheops mais également trois nano-satellites sont « à bord », il s’agit de 12U Angels, du 3U EyeSat et de 3U OPS-Sat. Pour ce troisième tir avec le lanceur russe Soyouz de l’année, la pression est énorme et le monde de l’aérospatiale suit avec attention l’évolution de Soyouz.