Viviane Emigré a de nouvelles confidences à faire à son public. Sur la scène du Zéphir le 10 et 11 décembre, elle détricotera les 40 Viviane qui sont en elle pour un partage qu'elle annonce sans concession.
Comme à son habitude l'humoriste ne dévoile rien du contenu de son spectacle. A une semaine de se retrouver face à son public, Viviane se sent fébrile mais a hâte de délivrer ses messages sur la femme. Elle va les faire cheminer ainsi durant deux heures. Elle affirme ne plus vouloir : "arrondir les angles, je veux bousculer et dire des choses. Je ne m'interdis rien!".
L'idée de ce spectacle trotte dans sa tête depuis un an, il a commencé à prendre forme au mois de mai. Comme d'habitude, elle réserve la primeur à la Guyane mais est déjà réclamée aux Antilles où sa côte de popularité est au zénith.
Son spectacle parlera exclusivement des femmes mais Madame Emigré continue de porter un regard aiguisé sur la société guyanaise. Elle observe l'avènement d'une nouvelle société guyanaise, et lui semble que le négatif remonte à la surface comme pour opérer un grand nettoyage mais il y a sûrement beaucoup d'incompréhension au sein de la population et cela lui apparaît préjudiciable. On ne cherche pas vraiment la cause du mal et tout est prétexte à partir en "vrille". selon, Viviane Emigré, il y a urgence à remettre l'éducation au coeur des politiques.
Le reportage de Frédéric Larzabal et Catherine Lama
L'idée de ce spectacle trotte dans sa tête depuis un an, il a commencé à prendre forme au mois de mai. Comme d'habitude, elle réserve la primeur à la Guyane mais est déjà réclamée aux Antilles où sa côte de popularité est au zénith.
Son spectacle parlera exclusivement des femmes mais Madame Emigré continue de porter un regard aiguisé sur la société guyanaise. Elle observe l'avènement d'une nouvelle société guyanaise, et lui semble que le négatif remonte à la surface comme pour opérer un grand nettoyage mais il y a sûrement beaucoup d'incompréhension au sein de la population et cela lui apparaît préjudiciable. On ne cherche pas vraiment la cause du mal et tout est prétexte à partir en "vrille". selon, Viviane Emigré, il y a urgence à remettre l'éducation au coeur des politiques.
Le reportage de Frédéric Larzabal et Catherine Lama