L’équipage de l’hélicoptère avait entamé son voyage de retour vers leur base située à Cap Cod dans le Massachusetts, lorsqu’à quinze miles à l’ouest de l'archipel, il signale un problème sur leur appareil et demande la permission d’atterrir au plus vite.
C’était un peu avant midi, ce samedi matin, lorsque se pose en urgence, l’hélicoptère de la garde côtière américaine à l’aéroport Saint-Pierre Pointe Blanche.
Les 7 hommes d’équipage sont sains et saufs et à peine ont-ils posé le pied sur l’île que déjà ils effectuent les premiers tests sur leur appareil. Ils découvrent de la limaille de fer sur les aimants situés au niveau de la transmission. Une pièce s’est donc détériorée, il va falloir effectuer des vérifications plus poussées. L'objectif est de trouver cette pièce endommagée.
L’équipage de l’hélicoptère effectuait son vol retour, depuis Saint John’s vers Halifax puis Cap Cod, leur base. Après une semaine passée à Terre-Neuve où ils ont pu effectuer des exercices de sauvetage dans le cadre d’une coopération entre le Canada et les États-Unis.
Ils étaient à environ vingt-quatre kilomètres à l’ouest de Saint-Pierre, lorsque le pilote de l’hélicoptère demande à la tour de contrôle de se poser au plus vite. « Nous parlions avec la tour de contrôle de Saint-Pierre parce que c’est la meilleure plateforme de communication que l’on a entre Saint John’s et Sydney. Nous avons demandé la permission d’atterrir ici à Saint-Pierre. Ils ont répondu : Aucun problème, nous allons vous donner les vecteurs pour y arriver. Mais finalement c’était plus : On a besoin d’atterrir à Saint-Pierre ! Ils ont dit : D’accord vous pouvez atterrir ici ! »
Les mécaniciens vont donc maintenant tout vérifier et essayer de trouver la meilleure solution. Ils vont sans doute devoir demander à leur base à Cap Cod, les pièces détachées pour réparer leur appareil et enfin rentrer chez eux.
Voyez ce reportage de Flavie Bry et Jérôme Anger.
Les 7 hommes d’équipage sont sains et saufs et à peine ont-ils posé le pied sur l’île que déjà ils effectuent les premiers tests sur leur appareil. Ils découvrent de la limaille de fer sur les aimants situés au niveau de la transmission. Une pièce s’est donc détériorée, il va falloir effectuer des vérifications plus poussées. L'objectif est de trouver cette pièce endommagée.
L’équipage de l’hélicoptère effectuait son vol retour, depuis Saint John’s vers Halifax puis Cap Cod, leur base. Après une semaine passée à Terre-Neuve où ils ont pu effectuer des exercices de sauvetage dans le cadre d’une coopération entre le Canada et les États-Unis.
« On a besoin d’atterrir à Saint-Pierre ! »
Ils étaient à environ vingt-quatre kilomètres à l’ouest de Saint-Pierre, lorsque le pilote de l’hélicoptère demande à la tour de contrôle de se poser au plus vite. « Nous parlions avec la tour de contrôle de Saint-Pierre parce que c’est la meilleure plateforme de communication que l’on a entre Saint John’s et Sydney. Nous avons demandé la permission d’atterrir ici à Saint-Pierre. Ils ont répondu : Aucun problème, nous allons vous donner les vecteurs pour y arriver. Mais finalement c’était plus : On a besoin d’atterrir à Saint-Pierre ! Ils ont dit : D’accord vous pouvez atterrir ici ! »
Les mécaniciens vont donc maintenant tout vérifier et essayer de trouver la meilleure solution. Ils vont sans doute devoir demander à leur base à Cap Cod, les pièces détachées pour réparer leur appareil et enfin rentrer chez eux.
Voyez ce reportage de Flavie Bry et Jérôme Anger.