Des dirigeants caribéens condamnent l’attaque sur Donald Trump

Donald Trump, candidat à la présidence des Etats-Unis, après une tentative d'assassinat le 13 juillet 2024.
Trinidad-et-Tobago, Barbade et Antigua-et-Barbuda sont les rares pays de la Caraïbe à condamner l’attaque sur l’ancien président américain Donald Trump le 13 juillet 2024.

Le Premier ministre de Barbade, Mia Mottley utilise son compte X pour condamner l’attaque violente contre l’ancien Président américain Donald Trump.

Elle exprime sa solidarité dans la lutte contre la violence. Elle se dit soulagée d'apprendre que l'ancien président Trump n'est pas grièvement blessé. 

Keith Rowley, Premier ministre de Trinidad-et-Tobago utilise aussi les réseaux sociaux pour condamner la tentative d'assassinat contre Donald Trump.

Terrence Drew, Premier ministre de Saint-Kitts et Nevis declare que "la violence et la haine n'ont aucune place dans notre monde moderne" et qu'il faut "dénoncer de tels actes de violence et œuvrer pour un monde plus paisible et inclusif." 

Donald Trump est dans les pensées et les prières du Premier ministre Terrence Drew.

Gaston Browne, leader d'Antigua-et-Barbuda, condamne l'attaque violente contre l'ancien Président des États-Unis.

À la Jamaïque, le Premier ministre, Andrew Holness n'a pas encore réagi. Son pays se remet après le passage de l'ouragan Beryl. 

En 2019, il est l'un des rares leaders de la Caraïbe à rencontrer le président Donald Trump dans sa résidence privée en Floride. 

À gauche Andrew Holness, Premier ministre de la Jamaïque rencontre le Président Trump et sa femme Melania.

En Haïti, les dirigeants par intérim n'ont pas encore fait une déclaration publique après l'attaque sur Donald Trump.

En 2018, alors Président américain, Donald Trump décrit Haïti ainsi que des pays d'Afrique, comme "shitholes" (trous de merde).