Un grand moment du carnavaval se prépare. Fort-de-France s’apprête à accueillir samedi 23 février à 18h 30, sa parade nocturne la "Bét a fè". 43 groupes seront présents à l'invitation de Gwanaval. Trois départs sont prévus dans la ville pour permettre aux spectateurs de vivre la parade nocturne.
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C'est un moment important dans les festivités carnavalesques à Fort-de-France. La parade nocturne la Bèt e Fé est un festival de rythmes, de lumières et de couleurs très prisés du public.
Les quarante trois groupes vont évoluer autour de la Savane à Fort-de-France. Trois départs sont prévus afin de permettre de vivre la parade. Le cérémonial d’ouverture se déroule à 18 h 30, sur le Malécon avec les groupes Charivari, S’ Pwi tradisyon, Jenes bwadjack et les mapipis.
Le premier départ "vibration déboulé" recherches et traditions est prévu 19h30 à l’espace Malecon avec les groupes A sou yo, Gwanaval, et Nou pa sav.
Dix minutes plus tard, au même endroit 14 groupes parmi lesquels Baryl band, les Colibris, les Diables rouges, Mahogany's foyal, Vakaband et le Sénat All stars de Guadeloupe vont emprunter le circuit.
À la rue Félix Eboue à 19h50, un autre point de la ville, Vibration 3 entrera en piste, avec 16 groupes (Dife an Laria, Karin all stars, Flèch bambou, Otantik Gerikan Bass, le groupe haïtien Kombit Rasin, etc...)
Le but est de converger dans un esprit de partage afin d’illuminer le cœur de la ville.
La ville de Fort-de-France a travaillé avec ses partenaires, la préfecture, la police nationale, le Sdis, la protection civile, les secouristes, les agents de médiation ont travaillé le dossier sécurité pour que la fête soit belle sans accidents et incidents.
Maurice Ferné, directeur général adjoint en charge de la prévention et de la sécurité, parle d’une importante mobilisation faisant appel à la responsabilité et à l’esprit citoyen.
32 ans de vie, 17 ans de parade, Gwanaval est une institution qui œuvre pour préserver les identités plurielles. Née sur le campus universitaire, d’un "Lyannag" d’étudiants Guadeloupéens (qui ne pouvaient pas retourner chez eux à cet époque de fête) et d’étudiants Martiniquais, l'association Gwanaval occupait le cœur de la ville et les rues adjacentes. "Ce n'est qu'en 1996, après un arrêté interdisant les rues intérieures que le public découvrait l’ impressionnant groupe" précise Éric Mesnil, le leader de Gwanaval "on veut insuffler le partage, la créativité, le respect des différences, la promotion des traditions, afin d’illuminer la vie.
Trois départs pour la parade
Les quarante trois groupes vont évoluer autour de la Savane à Fort-de-France. Trois départs sont prévus afin de permettre de vivre la parade. Le cérémonial d’ouverture se déroule à 18 h 30, sur le Malécon avec les groupes Charivari, S’ Pwi tradisyon, Jenes bwadjack et les mapipis.
Le premier départ "vibration déboulé" recherches et traditions est prévu 19h30 à l’espace Malecon avec les groupes A sou yo, Gwanaval, et Nou pa sav.
Dix minutes plus tard, au même endroit 14 groupes parmi lesquels Baryl band, les Colibris, les Diables rouges, Mahogany's foyal, Vakaband et le Sénat All stars de Guadeloupe vont emprunter le circuit.
À la rue Félix Eboue à 19h50, un autre point de la ville, Vibration 3 entrera en piste, avec 16 groupes (Dife an Laria, Karin all stars, Flèch bambou, Otantik Gerikan Bass, le groupe haïtien Kombit Rasin, etc...)
Le but est de converger dans un esprit de partage afin d’illuminer le cœur de la ville.
Sécurité autour de la manifestation
La ville de Fort-de-France a travaillé avec ses partenaires, la préfecture, la police nationale, le Sdis, la protection civile, les secouristes, les agents de médiation ont travaillé le dossier sécurité pour que la fête soit belle sans accidents et incidents.
Maurice Ferné, directeur général adjoint en charge de la prévention et de la sécurité, parle d’une importante mobilisation faisant appel à la responsabilité et à l’esprit citoyen.
Gwanaval donne le rythme
32 ans de vie, 17 ans de parade, Gwanaval est une institution qui œuvre pour préserver les identités plurielles. Née sur le campus universitaire, d’un "Lyannag" d’étudiants Guadeloupéens (qui ne pouvaient pas retourner chez eux à cet époque de fête) et d’étudiants Martiniquais, l'association Gwanaval occupait le cœur de la ville et les rues adjacentes. "Ce n'est qu'en 1996, après un arrêté interdisant les rues intérieures que le public découvrait l’ impressionnant groupe" précise Éric Mesnil, le leader de Gwanaval "on veut insuffler le partage, la créativité, le respect des différences, la promotion des traditions, afin d’illuminer la vie.