Avec le festival "place au gwo ka", la ville de Montauban (Département du Tarn-et-Garonne en région Occitanie, près de Toulouse), vibrera désormais chaque année, au rythme de la Guadeloupe.
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Après une master-class en mai dernier, une exposition sur l’histoire de la percussion (à voir depuis le début du mois d’août 2019), et la belle représentation du spectacle "Tanbou", le point d’orgue du 1er festival "place au gwo ka" a eu lieu le week-end dernier (samedi 10 août 2019).
Le public a eu droit à de belles prestations, avec notamment le trio inédit composé du grand maître tanbouyé, Roger Raspail, et de plusieurs voix du gwo ka, telles que Jony Lerond et Edmony Krater. C’est à l’initiative de ce dernier qu’a été organisé cette manifestation. Pour lui, le gwo ka permet d’aller à la rencontre des gens. Il s’en explique au micro de Nathalie Sarfati.
Cette première édition de "place au gwo-ka" a amorcé les 20 ans de l'enseignement du tambour Ka au Conservatoire de Montauban.
Le gwo ka est classé par l’Unesco au patrimoine culturel immatériel de l’humanité depuis 2014.
Le public a eu droit à de belles prestations, avec notamment le trio inédit composé du grand maître tanbouyé, Roger Raspail, et de plusieurs voix du gwo ka, telles que Jony Lerond et Edmony Krater. C’est à l’initiative de ce dernier qu’a été organisé cette manifestation. Pour lui, le gwo ka permet d’aller à la rencontre des gens. Il s’en explique au micro de Nathalie Sarfati.
Festival gwo ka de Montauban
Le festival gwo ka a permis de découvrir cet instrument de musique, qui symbolise l'identité culturelle guadeloupéenne. (Journal LaDepeche.fr).
Alliant la musique au chant et à la danse, il (le gwo ka) permet à l’individu d’exprimer sa singularité tout en l’impliquant au sein du collectif. (Ville de Montauban).
Le gwo ka est classé par l’Unesco au patrimoine culturel immatériel de l’humanité depuis 2014.