Sur l'eau, il n'y a pas que les yoles ou les gommiers. L'aviron traditionnel, très pratiqué sur la côte Caraïbe, veut aujourd'hui retrouver le coeur du public.
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Il faut d'abord porter ses 120 kilos puis ramer pour rejoindre la ligne de départ. C'est parti pour deux heures de course d'aviron traditionnel, organisée aux Anses d'Arlet, ce dimanche (14 août). Sur l'eau, tout est question de synchronisation. Le patron est le seul à être assis dans le sens de la navigation. "Il donne le tempo", explique André Blaise Lecurieux-Lafayette, patron d'aviron traditionnel. "Il mène le bateau dans la bonne direction. Mais le moteur, ce sont les rameurs".
À l'origine, les courses d'aviron traditionnel sont un défi que se lancaient les pêcheurs en regagnant la terre ferme. La discipline a, un temps, animé les week-ends de la côte Caraïbe. Aujourd'hui, les pratiquants tentent de relancer l'activité en attirant les curieux, entre sport et découverte. L'aviron compte douze clubs en Martinique.
Regardez le reportage de Sangha Fagour et Eddy Bellerose :
À l'origine, les courses d'aviron traditionnel sont un défi que se lancaient les pêcheurs en regagnant la terre ferme. La discipline a, un temps, animé les week-ends de la côte Caraïbe. Aujourd'hui, les pratiquants tentent de relancer l'activité en attirant les curieux, entre sport et découverte. L'aviron compte douze clubs en Martinique.
Regardez le reportage de Sangha Fagour et Eddy Bellerose :
Sur l'eau, il n'y a pas que les yoles ou les gommiers. L'aviron traditionnel, très pratiqué sur la côte Caraïbe, veut aujourd'hui retrouver le cœur du public.
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