La Chambre de Métiers et de l'Artisanat de Martinique présente ce vendredi 11 septembre 2020, un plan de relance en onze propositions. Ce plan sera présenté aux autorités de l'Etat afin de relancer l'économie artisanale fortement touchée par la crise sanitaire liée au coronavirus.
La Chambre de Métiers et de l'Artisanat de Martinique propose un plan de relance en onze mesures afin de renforcer le secteur économique touché par le coronavirus. Afin de privilégier la production locale, la chambre consulaire met en place le "chèque péyi " destiné à 100 000 foyers martiniquais.
Un chèque dont le financement sera réalisé en partenariat avec les EPCI (établissement public de coopération intercommunale), la CTM (Collectivité Territoriale de Martinique) et l'Etat. Un coup de pouce à la consommation des ménages et au pouvoir d'achat qui a pour ambition de favoriser l'investissement, l'emploi, la formation et l'apprentissage.
Les autres mesures proposées par ce plan de relance, visent à réclamer la prise en charge des surcoûts liés à la crise sanitaire du coronavirus, la réduction des délais de paiement, l'accélération de la transition numérique des entreprises artisanales ou l'annulation des charges sociales pour la période du coronavirus.
Des dettes sociales qui s'accumulent depuis la crise sanitaire pour Henri Salomon, le président de la Chambre de Métiers et de l' Artisanat de Martinique.
Un chèque dont le financement sera réalisé en partenariat avec les EPCI (établissement public de coopération intercommunale), la CTM (Collectivité Territoriale de Martinique) et l'Etat. Un coup de pouce à la consommation des ménages et au pouvoir d'achat qui a pour ambition de favoriser l'investissement, l'emploi, la formation et l'apprentissage.
Lutter contre les dettes sociales des entreprises
Les autres mesures proposées par ce plan de relance, visent à réclamer la prise en charge des surcoûts liés à la crise sanitaire du coronavirus, la réduction des délais de paiement, l'accélération de la transition numérique des entreprises artisanales ou l'annulation des charges sociales pour la période du coronavirus.
Des dettes sociales qui s'accumulent depuis la crise sanitaire pour Henri Salomon, le président de la Chambre de Métiers et de l' Artisanat de Martinique.
Sans solution d'apurement ou d’effacement des dettes de la période de crise, nous aurons des problèmes de pénurie des entreprises. Certaines d'ailleurs ne peuvent plus accéder aux marchés publics simplement parce qu'elles ne sont plus à jour de leurs charges sociales.