En guise de bilan, Jean-François Carenco est interrogé d'abord sur le scandale de la pollution des Antilles Françaises par le produit chlrodécone. "La réparation par l'action est le meilleur des remèdes", déclare-t-il.
L'invasion et les conséquences des algues sargasses, ont suscité chez lui, une stupeur. "J'ai été surpris par l'odeur. (...) Vous sentez quelque chose de très fort, ça vous prend la tête, ça vous prend le corps".
Sur la question du développement économique, "il faut créer des richesses, en particulier dans le secteur agricole.
Quant à la suite donnée aux signataires de l'appel de Fort-de-France pour davantage de liberté locale, "il convient de trouver un système où les collectivités sont plus responsables de leur avenir", explique le ministre.