"Remettre en avant le 8 mars comme journée de lutte" semble être le slogan de l'UFM. Ses membres ne veulent plus que cette date soit réduite à une journée où les femmes sont mises à l'honneur. Il y a encore trop de combats à mener selon sa présidente, Rita Bonheur.
Mobilisations, actions de sensibilisation, partout... voilà ce que souhaite l'UFM (Union des Femmes de Martinique), pour cette journée du 8 mars. "Il faut que cette date devienne une vraie journée de mobilisation", insiste Rita Bonheur, la présidente de l'association.
Les tracts distribués par l'UFM ne laissent aucun doute sur le message à diffuser pour cette journée internationale de lutte des droits des femmes.
Il y a eu des avancées, sous la forme de textes de loi, mais les combats sont encore nombreux. Et les enjeux sont très clairs : rappeler la réalité des femmes, sur leurs lieux de travail, à la maison, et dans leur vie de tous les jours.
Et à cela s'ajoute encore, le contexte que connaît la Martinique (vie chère, précarité sociale, chômage, diminution de la population, contamination des sols...)
Il y a eu des avancées, sous la forme de textes de loi, mais les combats sont encore nombreux. Et les enjeux sont très clairs : rappeler la réalité des femmes, sur leurs lieux de travail, à la maison, et dans leur vie de tous les jours.
Et à cela s'ajoute encore, le contexte que connaît la Martinique (vie chère, précarité sociale, chômage, diminution de la population, contamination des sols...)