Le parc de logements sociaux à Mayotte est restreint et pourtant, la demande est potentiellement importante.
Pourquoi les autorités ne proposent pas des logements sociaux aux expulsés installés sur la Place de La République à Mamoudzou ?
La question revient souvent et aux alentours du camp, on affirme que le préfet de Mayotte ne veut pas en entendre parler. Certains vont donc jusqu’à vouloir justifier les échauffourées de lundi dernier à un présumé refus du représentant de l’Etat.
Rappelons d’abord que ne peuvent prétendre à un logement social, que les français et les étrangers qui jouissent de titres de séjour valides.
Ce qui n’est pas le cas de toutes les personnes qui se trouvent sur la Place de La République à Mamoudzou.
La plupart de ceux qui ont été expulsés vivaient dans des habitations précaires du genre bidonville. Certains louaient d’autres non.
Une autre condition requise, est qu’il faut que la famille, en question, ait déposé un dossier de demande de logement.
Combien parmi celles qui se trouvent dans la rue aujourd’hui avaient fait la demande et étaient donc en attente ?
L’offre de logements locatifs à Mayotte est très limitée. Durant des années, c’est la Société Immobilière de Mayotte qui a construit des logements sociaux. Une politique revue à la baisse après ses difficultés de trésorerie de 2013. Les investisseurs ne suivent plus.
Quand ces logements existent, notamment ceux construits grace à l'ANRU, l’Agence Nationale de la Rénovation Urbaine, les attributions ne sont pas claires.
Normalement, un système très savant est institué en France avec des critères sociales et économiques. A Mayotte, 6 membres du conseil d’administration de la SIM et le maire se réunissent en commission. La voix du premier magistrat est prépondérante, cela dit.
Ce qui fait qu’il y a souvent des contestations et quand ce sont des étrangers, même en situation régulière qui en bénéficient, les frustrations sont encore plus grandes.
En ce qui concerne le logement des familles qui sont sur la place de la République. Beaucoup relèveraient des centres d’accueil et des foyers du genre SONACOTRA. Des établissements subventionnés par les pouvoirs publics pour favoriser l'intégration des résidents par l'offre d'un logement et l'accompagnement social ..
La question revient souvent et aux alentours du camp, on affirme que le préfet de Mayotte ne veut pas en entendre parler. Certains vont donc jusqu’à vouloir justifier les échauffourées de lundi dernier à un présumé refus du représentant de l’Etat.
Rappelons d’abord que ne peuvent prétendre à un logement social, que les français et les étrangers qui jouissent de titres de séjour valides.
Ce qui n’est pas le cas de toutes les personnes qui se trouvent sur la Place de La République à Mamoudzou.
La plupart de ceux qui ont été expulsés vivaient dans des habitations précaires du genre bidonville. Certains louaient d’autres non.
Une autre condition requise, est qu’il faut que la famille, en question, ait déposé un dossier de demande de logement.
Combien parmi celles qui se trouvent dans la rue aujourd’hui avaient fait la demande et étaient donc en attente ?
L’offre de logements locatifs à Mayotte est très limitée. Durant des années, c’est la Société Immobilière de Mayotte qui a construit des logements sociaux. Une politique revue à la baisse après ses difficultés de trésorerie de 2013. Les investisseurs ne suivent plus.
Quand ces logements existent, notamment ceux construits grace à l'ANRU, l’Agence Nationale de la Rénovation Urbaine, les attributions ne sont pas claires.
Normalement, un système très savant est institué en France avec des critères sociales et économiques. A Mayotte, 6 membres du conseil d’administration de la SIM et le maire se réunissent en commission. La voix du premier magistrat est prépondérante, cela dit.
Ce qui fait qu’il y a souvent des contestations et quand ce sont des étrangers, même en situation régulière qui en bénéficient, les frustrations sont encore plus grandes.
En ce qui concerne le logement des familles qui sont sur la place de la République. Beaucoup relèveraient des centres d’accueil et des foyers du genre SONACOTRA. Des établissements subventionnés par les pouvoirs publics pour favoriser l'intégration des résidents par l'offre d'un logement et l'accompagnement social ..