La rencontre entre les émissaires des deux camps, celui du président Azali Assoumani et celui des rebelles n’a pas permis d’obtenir un cessez-le-feu ferme et définitif.
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Les notables, les religieux et un collaborateur du maire de Mutsamudu qui ont participé aux négociations de paix sont sortis déçus et inquiets.
La situation sur place reste toujours tendue malgré la signature d’un protocole d’accord entre un représentant du gouvernement central de l’Union des Comores, un représentant du maire de la capitale d’Anjouan assiégée, des chefs religieux et des émissaires de la société civile.
Moroni exigeait le dépôt des armes de la part des insurgés avant la fin de la journée, chose qui n’a pas été faite. Une prolongation du délai a été demandée. Reste aussi à régler la question des enfants armés.
La situation sur place reste toujours tendue malgré la signature d’un protocole d’accord entre un représentant du gouvernement central de l’Union des Comores, un représentant du maire de la capitale d’Anjouan assiégée, des chefs religieux et des émissaires de la société civile.
Moroni exigeait le dépôt des armes de la part des insurgés avant la fin de la journée, chose qui n’a pas été faite. Une prolongation du délai a été demandée. Reste aussi à régler la question des enfants armés.