Le sinistre se serait déclaré la nuit dernière. Il a totalement détruit deux bâtiments. La DDEC espère rouvrir le plus vite possible le lycée professionnel.
•
Ce sont deux bâtiments du lycée de la DDEC (la Direction Diocésaine de l’Enseignement Catholique) qui ont été la proie des flammes sans doute vers 23 h ou minuit la nuit dernière.
Le premier regroupait les services de la vie scolaire, avec tous les serveurs informatiques.
Le second, d’une superficie de 200 m2, était la fierté de l’établissement.
« C’était un bâtiment d’innovation, le premier Centre de Culture et de Connaissance qui existait sur le territoire dans un établissement scolaire, où tous les jeunes, les éducateurs, les professeurs se côtoyaient constamment. Un lieu de rencontre qui part en fumée.» Explique Karen Cazeau, la directrice de la DDEC.
Il regroupait en effet notamment une salle d’études, le CDI et la salle des professeurs.
Il s’agissait de constater les dégâts et d’apporter leur soutien à l’équipe de l’établissement « qui vit les choses difficilement » explique Karen Cazeau, d’autant qu’il s’agit du 4ème incendie en 5 ans. « C’est un sentiment de désolation, et de ras-le-bol. »
Les jeunes ont tout de même été accueillis ce matin, l’internat est ouvert, mais les cours sont suspendus jusqu’à nouvel ordre.
Une réunion se tient cet après midi avec l’ensemble de l’équipe éducative pour trouver des solutions, réaffecter des locaux, des salles de classes, remettre une vie scolaire, une salle d’étude, une salle des profs… Le but est de rouvrir le plus rapidement possible.
Le lycée Père Guéneau accueille 364 élèves qui viennent de l’ensemble du territoire, dont plus de 60 % d’internes.
La rénovation il y a un an et demi des 2 bâtiments incendiés avait coûté environ 40 millions.
Le premier regroupait les services de la vie scolaire, avec tous les serveurs informatiques.
Le second, d’une superficie de 200 m2, était la fierté de l’établissement.
« C’était un bâtiment d’innovation, le premier Centre de Culture et de Connaissance qui existait sur le territoire dans un établissement scolaire, où tous les jeunes, les éducateurs, les professeurs se côtoyaient constamment. Un lieu de rencontre qui part en fumée.» Explique Karen Cazeau, la directrice de la DDEC.
Il regroupait en effet notamment une salle d’études, le CDI et la salle des professeurs.
Un sentiment « de désolation et de ras-le-bol »
Karen Cazeau qui s’est rendue sur place ce matin, accompagnée d’Hélène Iékawé, chargée de l’enseignement au gouvernement, et de la maire de Bourail Brigitte El Arbi.Il s’agissait de constater les dégâts et d’apporter leur soutien à l’équipe de l’établissement « qui vit les choses difficilement » explique Karen Cazeau, d’autant qu’il s’agit du 4ème incendie en 5 ans. « C’est un sentiment de désolation, et de ras-le-bol. »
Les cours suspendus jusqu’à nouvel ordre
Les gendarmes se sont rendus sur place ce matin pour les constatations. La piste criminelle est privilégiée.Les jeunes ont tout de même été accueillis ce matin, l’internat est ouvert, mais les cours sont suspendus jusqu’à nouvel ordre.
Une réunion se tient cet après midi avec l’ensemble de l’équipe éducative pour trouver des solutions, réaffecter des locaux, des salles de classes, remettre une vie scolaire, une salle d’étude, une salle des profs… Le but est de rouvrir le plus rapidement possible.
Le lycée Père Guéneau accueille 364 élèves qui viennent de l’ensemble du territoire, dont plus de 60 % d’internes.
La rénovation il y a un an et demi des 2 bâtiments incendiés avait coûté environ 40 millions.