Comment l'Avenir en confiance voit sa première année de mandature

La plate-forme a dressé elle-même le bilan lors d'une conférence de presse.
En dépit des crises économique ou sanitaire, la plate-forme loyaliste apparue en février 2019 estime que son bilan est «globalement positif» après un an de mandature, suite aux dernières élections provinciales en Nouvelle-Calédonie. 
Le 12 mai 2019, l'Avenir en confiance remportait les élections en province Sud avec 40 % des suffrages, avant les conséquences que l'on sait sur la composition du Congrès puis du gouvernement local. Rappel politique ici : 

Un an après

Un anniversaire que la plate-forme a marqué ce mardi 12 mai 2020 en livrant sa vision de son action, un an jour pour jour après le scrutin. L'analyse de Naïa Wateou, cheffe de groupe AEC à l'assemblée provinciale Sud. Elle répond à Loreleï Aubry et Cédric Michaut :
©nouvellecaledonie
 

Une première année qui s'est somme toute, et en toute humilité, très bien passée pour nous. Malgré des aléas liés notamment à une crise économique qu'on avait pressentie, mais dont on ne s'attendait pas à ce qu'elle soit aussi conséquente lorsque nous avons pris nos fonctions. Une gestion, aussi, de la crise Covid, un événement inattendu qui est venu perturber notre programme. Ça ne nous a pas empêchés de décliner nos actions.
- Naïa Wateou, cheffe de groupe AEC à l'assemblée provinciale Sud

 

Vu du Congrès

Crise budgétaire, crise sanitaire ou encore réforme de la santé, Virginie Ruffenach aussi revient sur cette première année. Elle dirige le groupe Avenir en confiance au Congrès. 
 

Entre cette crise économique, budgétaire, plus la crise du Covid qui est venue frapper la Nouvelle-Calédonie comme l'ensemble de la planète, je crois que dans la tempête, nous avons su faire face. 
- Virginie Ruffenach, cheffe du groupe AEC au Congrès

 

Côté classe

Une présentation qui met aussi l'accent sur l'enseignement en province Sud, par la voix de son deuxième vice-président. Gil Brial évoque «la création d'un internat de la réussite, où on va accueillir des enfants qui ont un vrai potentiel mais qui ne peuvent pas être aidés par leurs parents». Il mentionne le label «développement des cultures océaniennes» pour les écoles du Sud. Ou encore le projet d'«augmenter de 50 % les écoles bilingues français-anglais».

Le point radio de Martine Nollet :

L'Avenir en confiance dresse son bilan

L'Avenir en confiance se compose du Rassemblement-Les Républicains, des Républicains calédoniens et du Mouvement populaire calédonien.