Un an après
Un anniversaire que la plate-forme a marqué ce mardi 12 mai 2020 en livrant sa vision de son action, un an jour pour jour après le scrutin. L'analyse de Naïa Wateou, cheffe de groupe AEC à l'assemblée provinciale Sud. Elle répond à Loreleï Aubry et Cédric Michaut :Une première année qui s'est somme toute, et en toute humilité, très bien passée pour nous. Malgré des aléas liés notamment à une crise économique qu'on avait pressentie, mais dont on ne s'attendait pas à ce qu'elle soit aussi conséquente lorsque nous avons pris nos fonctions. Une gestion, aussi, de la crise Covid, un événement inattendu qui est venu perturber notre programme. Ça ne nous a pas empêchés de décliner nos actions.
- Naïa Wateou, cheffe de groupe AEC à l'assemblée provinciale Sud
Vu du Congrès
Crise budgétaire, crise sanitaire ou encore réforme de la santé, Virginie Ruffenach aussi revient sur cette première année. Elle dirige le groupe Avenir en confiance au Congrès.Entre cette crise économique, budgétaire, plus la crise du Covid qui est venue frapper la Nouvelle-Calédonie comme l'ensemble de la planète, je crois que dans la tempête, nous avons su faire face.
- Virginie Ruffenach, cheffe du groupe AEC au Congrès
Côté classe
Une présentation qui met aussi l'accent sur l'enseignement en province Sud, par la voix de son deuxième vice-président. Gil Brial évoque «la création d'un internat de la réussite, où on va accueillir des enfants qui ont un vrai potentiel mais qui ne peuvent pas être aidés par leurs parents». Il mentionne le label «développement des cultures océaniennes» pour les écoles du Sud. Ou encore le projet d'«augmenter de 50 % les écoles bilingues français-anglais».Le point radio de Martine Nollet :
L'Avenir en confiance dresse son bilan