Tout le programme de cette édition 2013
Le Tahiti Festival Guitare est depuis 2008, le rendez-vous incontournable de la guitare à Tahiti où se rencontrent jeunes guitaristes polynésiens, artistes locaux confirmés, les meilleurs guitaristes d'Europe et le public du Fenua.
Cette 6ème année du Tahiti Festival Guitare sera celtique, une rencontre avec la Bretagne à travers la guitare. Au programme, de nombreux artistes venus d’Armorique sélectionnés avec soin par le Collectif Tahiti Rock. Ils rencontreront à Tahiti, d’anciens candidats du Tahiti
Espoirs Guitare, des découvertes, le groupe polynésien Toa ‘Ura et la compagnie de ori Tahiti Tamariki Poerani dans un registre guitare/voix de aparima.
Soirée d’ouverture, jeudi 7 mars (Soirée Musique en Polynésie) :
Jean Charles Guichen & Claire Mocquard
C'est à l'age de 6 ans qu'il commence à grattouiller et à 16 ans que Jean-Charles avec son frère Fred créent le groupe Ar Re Yaouank. Il y compose, joue et s'envole dans un style déjà très personnel, en open tunning (accordage DADGAD).
ARY deviendra le groupe phare de la scène bretonne des années 90'. Il se représentera sur des scènes telles que les Francofolies de la Rochelle, les Trans Musicales de Rennes, L'Elysée Montmartre, le Bataclan... En 1996, il monte le groupe PSG, avec Jacques Pellen et Soig Siberil (trois guitaristes Heroes)!
En 1998, pour la sortie de son 1er album solo avec une musique world jazz breizh et une technique exceptionnellement virtuose, Jean-Charles crée l'événement. En 2000, il se produit sur scène avec la "Celtic procession" aux côtés de Didier Lockwood, Paolo Fresu et Ricardo Del Fra. Lors d'un concert, Hubert Felix Thiefaine l'invite à le rejoindre pour jouer "la fille du coupeur de joints". Il se produira également avec Alan Stivell aux Vielles Charrues!
C'est maintenant à l'international que se déroulent les plus beaux concerts. En duo avec Fred, ils enregistrent plusieurs albums devenus des références et écument les plus belles scènes de France et du monde (Polynésie, Taïwan, Indonésie, Cambodge, Japon...). Ils s'illustrent en première partie audacieuse de "Trust" en 2008 au Zénith de Paris, à l'Olympia, ainsi que sur la grande scène des Vieilles Charrues à Carhaix en 2010 devant plus de 57.000 personnes! Plusieurs de leurs albums ont été récompensés, notamment par le grand prix du disque du Télégramme, Produit en Bretagne... Jean Charles a également participé à de nombreux enregistrements dont l'album "Back to Breizh" d'Alan Stivell, Red Cardell, Tayfa...
En 2012, Jean Charles enregistre un nouvel album solo: "Chadenn Denel", il y présente un répertoire de compositions détonantes avec une technique impressionnante doublée d'une frappe puissante. Avec plus de 2.000 concerts à son actif, Jean-Charles Guichen est le guitariste celtique incontournable et un des plus brillants de l'Europe de l'ouest! En 2013 pour sa tournée "Chadenn Denel", il est accompagné de Claire Mocquard au violon.
Tamariki Poerani : Aparima du Fenua
En alternance avec Jean Charles Guichen, la compagnie de ori Tahiti, Tamariki Poerani dirigée par Makau Foster-Delcuvellerie, présentera plusieurs aparima (chants typiques polynésiens dansés et accompagnés à la guitare et au ukulélé) extraits de son répertoire du Heiva i Tahiti et du Hura Tapairu..
Concerts du vendredi 8 et du samedi 9 mars :
Taÿfa
C'est en 1992 que démarre l'expérience Taÿfa («sales mômes»). En juillet de cette année-là, le chanteur kabyle Farid Aït-Siameur, installé en Bretagne décide de créer un groupe avec ses amis bretons qui marquerait la rencontre des cultures musicales celtes et berbères. Unir les deux musiques qui indéniablement sont riches de points communs au pur niveau musical. Le groupe prend forme avec quatre autres musiciens, Philippe Collas, José Larraceleta, Olivier Carole. L'année de leur formation, ils font quelques dates au théâtre de Bejaïa en Kabylie - Algérie (dans le cadre d'un contrat d'amitié entre la ville de Brest et Bejaïa). Ce voyage les renforce dans leur volonté de métissage musical. Mais ce sont les textes, primordiaux chez Taÿfa et presque exclusivement signés de Farid, qui donnent un ton engagé à leur répertoire (les peuples opprimés, les intégrismes qui façonnent le monde d'aujourd'hui, etc.), tout en cultivant des musiques joyeuses signées de tous les membres. En 1994, sort leur premier album éponyme. Taÿfa participe à de nombreux festivals en Bretagne, mais leur renommée prend vite une ampleur nationale. C'est surtout à la sortie de leur deuxième CD début 98 que la qualité de leur démarche est célébrée par la critique. L'album "Awal" ("mot" ou "parole") se veut porteur d'espoir.
Aux sons celto-berbères, le groupe insuffle une touche rock et reggae à l'ensemble de ses compositions. Outre d'incessantes tournées en Europe, le groupe a eu l'occasion de tourner à travers le monde, porte drapeau de la world music française en compagnie de Rachid Taha et de l'Orchestre national de Barbès. Ils ont sillonnés quelques villes des États-Unis (New York, Washington et Los Angeles) en juillet 1998, en cette même année ils étaient les invités du Festival musiques d’ailleurs à Tahiti.
Le 29 février 2000, Taÿfa sort son troisième album "Assif". Dans la foulée, ils repartent en tournée avec un passage au Festival Chorus des Hauts-de-Seine en région parisienne. Depuis Taÿfa n'a pas cessé de travailler. Participation à plusieurs créations, dont celle de la formation de Seven Reizh pour 2 albums (Strinkadenn et Samsara) un voyage dans le rock progressif. En 2005, le Bagad Cap Caval a sollicité Farid Aït Siameur, chanteur du groupe dans le cadre d’une création Ijin qu’il réalisait pour la scène.
Cette rencontre a été déterminante dans l’évolution de la musique. En effet, Jusqu’alors, Taÿfa n'avait pas travaillé avec des grandes formations de ce type, qui plus est avec une forte dominante d’instruments traditionnels (bombardes, cornemuses, percussions…). Cette présence au coté de Taÿfa donnera au spectacle une couleur, une présence, un supplément d’âme indéniable. De cette rencontre est né un album live en 2011.
Taÿfa sera présent au 6ème Tahiti Festival Guitare avec Farid Aït Siameur au chant, Mickaël Bourdois à la batterie, Olivier Carole à la basse, J.C Normant au clavier, Hervé Le Floch à la cornemuse écossaise et Stéphane Kerhiuel à la guitare.
Mask Ha Gazh
1998. Début d'une aventure... Mask Ha Gazh. C’est comment faire de la musique actuelle et pêchue avec des instruments traditionnels. Faire partager un instant de convivialité au plus grand nombre, quel que soit l’endroit ou le moment, pourvu que cela soit la fête et la bonne humeur”. Entre ska et rock celtique...
Le quartet continue à cultiver cette philosophie festive, art de vivre à la Bretonne. Plus de 1200 concerts de villes en villages, de régions et en pays à travers toute l'Europe. 2 albums studio, 2 albums Live et un DVD. Mais plus que cela, surtout des milliers de rencontres et de souvenirs autour de la musique. De façon résolument originale, ils revisitent la musique celtique, dépoussièrent les flûtes et bombardes, et rendent toute leur énergie aux guitares, cuillers et sabots percussifs. Un groupe de scène détonnant, dont l'unique but est de voir les gens bouger et sourire... Ils vous feront voyager au fil de leurs chansons, de mers en tempêtes, de contrées mystiques en plages ensoleillées…
2012. Ils reprennent la route, des projets plein la soute, pour une année riche qui risque de vous surprendre...
Luc Le Squer - Chant et percussions (sabots, cuillers, bodhran)
Christophe Cantin - Flûtes et bombardes
Jérémy Lancézeur – Guitares
Scène locale
Pour la partie locale, Le Collectif Tahiti Rock invitera sur scène quelques-uns des meilleurs guitaristes du Fenua et plusieurs anciens candidats du Tahiti Espoirs Guitare qui aujourd’hui se produisent en Polynésie.
Toa ‘Ura
Le groupe polynésien Toa ‘Ura pour sa part clôturera les deux soirées du vendredi et du samedi. Composé de 7 musiciens choristes et de danseurs, le groupe musical TOA’URA a atteint sa maturité en 2003. Symboliquement TOA’URA signifie Guerriers Rouge, ce sont les ARIOI d’autrefois, les guerriers du Roi.
TOA’URA est avant tout un groupe à forte personnalité, composé de passionnés de musique locale, internationale et de professionnels de la danse polynésienne. La motivation est grande et les sources d’inspiration multiples. C’est un groupe qui se veut expressif, regroupant les sons traditionnels et modernes au sein d’un même spectacle pour partager l’amour de la musique polynésienne et la frénésie de la danse.
Programme du Festival
Jeudi 7 mars 2012
Soirée d’ouverture – Salle Matisse
Soirée « Musique en Polynésie »
« Jean Charles Guichen & Claire Mocquard» / Tamariki Poerani
19 heures 00 – Tamariki Poerani – 3 aparima avec danse
19 heures 15 – Jean Charles Guichen & Claire Mocquard (1ère partie)
19 heures 55 – Tamariki Poerani – 3 aparima avec danse
20 heures 10 – Deuxième partie de « Jean Charles Guichen & Claire Mocquard»
20 heures 45 – Rencontre et dédicace des artistes du TFG 2013 au bar l’Astrolabe
Vendredi 8 et samedi 9 mars 2012
Grands concerts celtiques – Grande scène Plantation
18 heures 00 – Scène locale
19 heures 15 – Concert Mask Ha Gazh
20 heures 20 – Concert Taÿfa
21 heures 25 – Concert Toa Ura
22 heures 30 – fin
Cette 6ème année du Tahiti Festival Guitare sera celtique, une rencontre avec la Bretagne à travers la guitare. Au programme, de nombreux artistes venus d’Armorique sélectionnés avec soin par le Collectif Tahiti Rock. Ils rencontreront à Tahiti, d’anciens candidats du Tahiti
Espoirs Guitare, des découvertes, le groupe polynésien Toa ‘Ura et la compagnie de ori Tahiti Tamariki Poerani dans un registre guitare/voix de aparima.
Soirée d’ouverture, jeudi 7 mars (Soirée Musique en Polynésie) :
Jean Charles Guichen & Claire Mocquard
C'est à l'age de 6 ans qu'il commence à grattouiller et à 16 ans que Jean-Charles avec son frère Fred créent le groupe Ar Re Yaouank. Il y compose, joue et s'envole dans un style déjà très personnel, en open tunning (accordage DADGAD).
ARY deviendra le groupe phare de la scène bretonne des années 90'. Il se représentera sur des scènes telles que les Francofolies de la Rochelle, les Trans Musicales de Rennes, L'Elysée Montmartre, le Bataclan... En 1996, il monte le groupe PSG, avec Jacques Pellen et Soig Siberil (trois guitaristes Heroes)!
En 1998, pour la sortie de son 1er album solo avec une musique world jazz breizh et une technique exceptionnellement virtuose, Jean-Charles crée l'événement. En 2000, il se produit sur scène avec la "Celtic procession" aux côtés de Didier Lockwood, Paolo Fresu et Ricardo Del Fra. Lors d'un concert, Hubert Felix Thiefaine l'invite à le rejoindre pour jouer "la fille du coupeur de joints". Il se produira également avec Alan Stivell aux Vielles Charrues!
C'est maintenant à l'international que se déroulent les plus beaux concerts. En duo avec Fred, ils enregistrent plusieurs albums devenus des références et écument les plus belles scènes de France et du monde (Polynésie, Taïwan, Indonésie, Cambodge, Japon...). Ils s'illustrent en première partie audacieuse de "Trust" en 2008 au Zénith de Paris, à l'Olympia, ainsi que sur la grande scène des Vieilles Charrues à Carhaix en 2010 devant plus de 57.000 personnes! Plusieurs de leurs albums ont été récompensés, notamment par le grand prix du disque du Télégramme, Produit en Bretagne... Jean Charles a également participé à de nombreux enregistrements dont l'album "Back to Breizh" d'Alan Stivell, Red Cardell, Tayfa...
En 2012, Jean Charles enregistre un nouvel album solo: "Chadenn Denel", il y présente un répertoire de compositions détonantes avec une technique impressionnante doublée d'une frappe puissante. Avec plus de 2.000 concerts à son actif, Jean-Charles Guichen est le guitariste celtique incontournable et un des plus brillants de l'Europe de l'ouest! En 2013 pour sa tournée "Chadenn Denel", il est accompagné de Claire Mocquard au violon.
Tamariki Poerani : Aparima du Fenua
En alternance avec Jean Charles Guichen, la compagnie de ori Tahiti, Tamariki Poerani dirigée par Makau Foster-Delcuvellerie, présentera plusieurs aparima (chants typiques polynésiens dansés et accompagnés à la guitare et au ukulélé) extraits de son répertoire du Heiva i Tahiti et du Hura Tapairu..
Concerts du vendredi 8 et du samedi 9 mars :
Taÿfa
C'est en 1992 que démarre l'expérience Taÿfa («sales mômes»). En juillet de cette année-là, le chanteur kabyle Farid Aït-Siameur, installé en Bretagne décide de créer un groupe avec ses amis bretons qui marquerait la rencontre des cultures musicales celtes et berbères. Unir les deux musiques qui indéniablement sont riches de points communs au pur niveau musical. Le groupe prend forme avec quatre autres musiciens, Philippe Collas, José Larraceleta, Olivier Carole. L'année de leur formation, ils font quelques dates au théâtre de Bejaïa en Kabylie - Algérie (dans le cadre d'un contrat d'amitié entre la ville de Brest et Bejaïa). Ce voyage les renforce dans leur volonté de métissage musical. Mais ce sont les textes, primordiaux chez Taÿfa et presque exclusivement signés de Farid, qui donnent un ton engagé à leur répertoire (les peuples opprimés, les intégrismes qui façonnent le monde d'aujourd'hui, etc.), tout en cultivant des musiques joyeuses signées de tous les membres. En 1994, sort leur premier album éponyme. Taÿfa participe à de nombreux festivals en Bretagne, mais leur renommée prend vite une ampleur nationale. C'est surtout à la sortie de leur deuxième CD début 98 que la qualité de leur démarche est célébrée par la critique. L'album "Awal" ("mot" ou "parole") se veut porteur d'espoir.
Aux sons celto-berbères, le groupe insuffle une touche rock et reggae à l'ensemble de ses compositions. Outre d'incessantes tournées en Europe, le groupe a eu l'occasion de tourner à travers le monde, porte drapeau de la world music française en compagnie de Rachid Taha et de l'Orchestre national de Barbès. Ils ont sillonnés quelques villes des États-Unis (New York, Washington et Los Angeles) en juillet 1998, en cette même année ils étaient les invités du Festival musiques d’ailleurs à Tahiti.
Le 29 février 2000, Taÿfa sort son troisième album "Assif". Dans la foulée, ils repartent en tournée avec un passage au Festival Chorus des Hauts-de-Seine en région parisienne. Depuis Taÿfa n'a pas cessé de travailler. Participation à plusieurs créations, dont celle de la formation de Seven Reizh pour 2 albums (Strinkadenn et Samsara) un voyage dans le rock progressif. En 2005, le Bagad Cap Caval a sollicité Farid Aït Siameur, chanteur du groupe dans le cadre d’une création Ijin qu’il réalisait pour la scène.
Cette rencontre a été déterminante dans l’évolution de la musique. En effet, Jusqu’alors, Taÿfa n'avait pas travaillé avec des grandes formations de ce type, qui plus est avec une forte dominante d’instruments traditionnels (bombardes, cornemuses, percussions…). Cette présence au coté de Taÿfa donnera au spectacle une couleur, une présence, un supplément d’âme indéniable. De cette rencontre est né un album live en 2011.
Taÿfa sera présent au 6ème Tahiti Festival Guitare avec Farid Aït Siameur au chant, Mickaël Bourdois à la batterie, Olivier Carole à la basse, J.C Normant au clavier, Hervé Le Floch à la cornemuse écossaise et Stéphane Kerhiuel à la guitare.
Mask Ha Gazh
1998. Début d'une aventure... Mask Ha Gazh. C’est comment faire de la musique actuelle et pêchue avec des instruments traditionnels. Faire partager un instant de convivialité au plus grand nombre, quel que soit l’endroit ou le moment, pourvu que cela soit la fête et la bonne humeur”. Entre ska et rock celtique...
Le quartet continue à cultiver cette philosophie festive, art de vivre à la Bretonne. Plus de 1200 concerts de villes en villages, de régions et en pays à travers toute l'Europe. 2 albums studio, 2 albums Live et un DVD. Mais plus que cela, surtout des milliers de rencontres et de souvenirs autour de la musique. De façon résolument originale, ils revisitent la musique celtique, dépoussièrent les flûtes et bombardes, et rendent toute leur énergie aux guitares, cuillers et sabots percussifs. Un groupe de scène détonnant, dont l'unique but est de voir les gens bouger et sourire... Ils vous feront voyager au fil de leurs chansons, de mers en tempêtes, de contrées mystiques en plages ensoleillées…
2012. Ils reprennent la route, des projets plein la soute, pour une année riche qui risque de vous surprendre...
Luc Le Squer - Chant et percussions (sabots, cuillers, bodhran)
Christophe Cantin - Flûtes et bombardes
Jérémy Lancézeur – Guitares
Pour la partie locale, Le Collectif Tahiti Rock invitera sur scène quelques-uns des meilleurs guitaristes du Fenua et plusieurs anciens candidats du Tahiti Espoirs Guitare qui aujourd’hui se produisent en Polynésie.
Toa ‘Ura
Le groupe polynésien Toa ‘Ura pour sa part clôturera les deux soirées du vendredi et du samedi. Composé de 7 musiciens choristes et de danseurs, le groupe musical TOA’URA a atteint sa maturité en 2003. Symboliquement TOA’URA signifie Guerriers Rouge, ce sont les ARIOI d’autrefois, les guerriers du Roi.
TOA’URA est avant tout un groupe à forte personnalité, composé de passionnés de musique locale, internationale et de professionnels de la danse polynésienne. La motivation est grande et les sources d’inspiration multiples. C’est un groupe qui se veut expressif, regroupant les sons traditionnels et modernes au sein d’un même spectacle pour partager l’amour de la musique polynésienne et la frénésie de la danse.
Programme du Festival
Jeudi 7 mars 2012
Soirée d’ouverture – Salle Matisse
Soirée « Musique en Polynésie »
« Jean Charles Guichen & Claire Mocquard» / Tamariki Poerani
19 heures 00 – Tamariki Poerani – 3 aparima avec danse
19 heures 15 – Jean Charles Guichen & Claire Mocquard (1ère partie)
19 heures 55 – Tamariki Poerani – 3 aparima avec danse
20 heures 10 – Deuxième partie de « Jean Charles Guichen & Claire Mocquard»
20 heures 45 – Rencontre et dédicace des artistes du TFG 2013 au bar l’Astrolabe
Vendredi 8 et samedi 9 mars 2012
Grands concerts celtiques – Grande scène Plantation
18 heures 00 – Scène locale
19 heures 15 – Concert Mask Ha Gazh
20 heures 20 – Concert Taÿfa
21 heures 25 – Concert Toa Ura
22 heures 30 – fin