Le bilan officiel est désormais de 8 morts, mais il y aurait en réalité 16 victimes car 8 personnes sont toujours portées disparues. Deux jours après l'éruption volcanique, l'île de Whakaari est toujours inaccessible aux secours.
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Selon nos confrères néo-zélandais de 1 News, deux personnes sont décédées des suites de leurs blessures mardi soir, ce qui porte à huit le nombre de décès officiels après l'éruption d'un volcan sur l'île de Whakaari, aussi appelée White Island, dans le nord de la Nouvelle-Zélande.
Il y aurait en réalité 16 victimes car huit personnes sont toujours portées disparues et présumées décédées sur cette île toujours inaccessible aux secours.
Les deux personnes qui sont mortes hier étaient traitées pour de graves brûlures à l'hôpital.
Ouverture d'une enquête criminelle
La police néo-zélandaise a annoncé mardi l'ouverture d'une enquête criminelle visant à déterminer si les touristes auraient dû être autorisés à se rendre sur cette île, alors que le niveau de menace du volcan avait été relevé la semaine dernière
Parmi les disparus et blessés figurent des touristes d'Australie, des Etats-Unis, du Royaume-Uni, de Chine et de Malaisie, ainsi que deux guides Néo-Zélandais qui les guidaient.
Environ 10.000 touristes se rendent chaque année sur ce volcan qui a connu de fréquentes éruptions au cours des 50 dernières années, la plus récente remontant à 2016.
Il y aurait en réalité 16 victimes car huit personnes sont toujours portées disparues et présumées décédées sur cette île toujours inaccessible aux secours.
Les deux personnes qui sont mortes hier étaient traitées pour de graves brûlures à l'hôpital.
Ouverture d'une enquête criminelle
La police néo-zélandaise a annoncé mardi l'ouverture d'une enquête criminelle visant à déterminer si les touristes auraient dû être autorisés à se rendre sur cette île, alors que le niveau de menace du volcan avait été relevé la semaine dernière
Parmi les disparus et blessés figurent des touristes d'Australie, des Etats-Unis, du Royaume-Uni, de Chine et de Malaisie, ainsi que deux guides Néo-Zélandais qui les guidaient.
Environ 10.000 touristes se rendent chaque année sur ce volcan qui a connu de fréquentes éruptions au cours des 50 dernières années, la plus récente remontant à 2016.