Après l'arrivée du virus sur l'île il y a un peu plus de trois semaines, la psychose s'empare de la population et le collège de l'île a connu un fort taux d'absentéisme cette semaine.
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La crainte avait touché en premier lieu les établissements scolaires de Tahiti et Moorea lors de la dernière rentrée, mais elle s'étend aujourd'hui jusqu'à Tahaa, aux Iles sous le vent.
Sur place, une centaine d'élèves ont été absents ces derniers jours. L'île vanille aussi est touchée par l'épidémie et parents d'élèves craingnent ses retombées.
C'est le cas par exemple de Matahuira Kulani. Elle emène sa fille tous les jours à l'école, même si c'est à contre coeur. « C'est ma fille qui veut aller à l'école, raconte la mère. Mais la peur est bien là ».
Gaël Boissière, le principal du collège de Tahaa dresse le bilan de la situation. « Lundi matin nous avions 80 élèves absents, ce qui équivaut à un quart de l'établissement. On a tout de suite rassuré les parents par rapports aux gestes barrière appliqués dans le collège. Par la suite, mardi et mercredi, il y avait moins d'un quart de l'éffectif absent, puis moins de 20% et on s'attend à un retour à la normale très vite. »
Rappelons qu'en septembre dernier, la DGEE relevait un taux d'absentéisme déjà très élevé. De 7%, il avait plus que doublé, allant jusqu'à 17% dans certaines zones.
Sur place, une centaine d'élèves ont été absents ces derniers jours. L'île vanille aussi est touchée par l'épidémie et parents d'élèves craingnent ses retombées.
C'est le cas par exemple de Matahuira Kulani. Elle emène sa fille tous les jours à l'école, même si c'est à contre coeur. « C'est ma fille qui veut aller à l'école, raconte la mère. Mais la peur est bien là ».
Gaël Boissière, le principal du collège de Tahaa dresse le bilan de la situation. « Lundi matin nous avions 80 élèves absents, ce qui équivaut à un quart de l'établissement. On a tout de suite rassuré les parents par rapports aux gestes barrière appliqués dans le collège. Par la suite, mardi et mercredi, il y avait moins d'un quart de l'éffectif absent, puis moins de 20% et on s'attend à un retour à la normale très vite. »
Rappelons qu'en septembre dernier, la DGEE relevait un taux d'absentéisme déjà très élevé. De 7%, il avait plus que doublé, allant jusqu'à 17% dans certaines zones.