Pour l’année 2014, seules 5 communes (Papeete, Arue, Mahina, Faa’a et Bora Bora) contre 7 en 2013, ont obtenu 100% de résultats conformes contre 7 en 2013. Regardez sur les cartes, la situation dans votre commune.
Dans le cadre de ses missions de protection et de promotion de la santé de la population, le Centre d’Hygiène et de Salubrité Publique (CHSP) a poursuivi en 2014, le contrôle de la qualité des eaux destinées à la consommation humaine distribuées par les réseaux et fontaines publics à Tahiti et dans les îles. Sur 130 points de contrôle, 355 prélèvements ont ainsi été effectués en 2014 par le CHSP.
Parallèlement, les communes et exploitants privés doivent réaliser un programme de contrôle de la qualité de l’eau qu’ils distribuent conformément à la réglementation en vigueur. Comme en 2013, seuls 20 communes et le syndicat intercommunal Te Oropaa ont réalisé en 2014 des autocontrôles, ce qui représente un total de 1428 prélèvements (réseaux et fontaines).
Chaque année, le CHSP établit et diffuse auprès des communes un rapport de synthèse faisant état de la qualité de l’eau qu’elles distribuent. Pour l’année 2014, ce rapport fait apparaître que seules 5 communes (Papeete, Arue, Mahina, Faa’a et Bora Bora) contre 7 en 2013, ont obtenu 100% de résultats conformes. Elles sont suivies par la commune de Pirae (97% de conformité) et la commune de Punaauia (95% de conformité). Ces 7 communes représentent tout de même 49% de la population.
Les raisons de la mauvaise qualité de l’eau distribuée sont connues : absence d’installations de traitement adaptées et efficaces des ressources en eau, mauvaise exploitation des installations liée à une carence en personnel technique qualifié, vétusté des ouvrages existants, utilisation exclusive de captages d’eaux superficielles, etc.
S’agissant des fontaines publiques, seules les fontaines de Temae et Nuuroa à Moorea ont continué à fournir une eau d’excellente qualité. Aucune fontaine de Tahiti n’a délivré une eau de qualité conforme en permanence. A ce jour, 11 atolls des Tuamotu possèdent une centrale de production d’eau potable en fonctionnement, en cours de travaux ou en projet au titre du contrat de projet.
La qualité des eaux distribuées par les communes de Polynésie française est encore très disparate et il est relevé une baisse de la qualité des eaux distribuées entre 2013 et 2014. La réalisation de travaux contribue à une amélioration de la qualité des eaux de consommation mais les efforts et les investissements doivent se poursuivre.
Le recours à des outils d’aide peut également s’avérer nécessaire, tels que le projet PAPE proposé par le syndicat pour la promotion des communes de Polynésie française et les Plans de Sécurité Sanitaire des Eaux (PSSE), outil préconisé par l’OMS (Organisation mondiale de la santé) depuis 2004, présenté par la Direction de la Santé - Centre d’hygiène et de salubrité publique aux communes équipées de réseaux de distribution d’eau en août 2014 dans le cadre d’un forum.
Source : communiqué de la Présidence
Parallèlement, les communes et exploitants privés doivent réaliser un programme de contrôle de la qualité de l’eau qu’ils distribuent conformément à la réglementation en vigueur. Comme en 2013, seuls 20 communes et le syndicat intercommunal Te Oropaa ont réalisé en 2014 des autocontrôles, ce qui représente un total de 1428 prélèvements (réseaux et fontaines).
Chaque année, le CHSP établit et diffuse auprès des communes un rapport de synthèse faisant état de la qualité de l’eau qu’elles distribuent. Pour l’année 2014, ce rapport fait apparaître que seules 5 communes (Papeete, Arue, Mahina, Faa’a et Bora Bora) contre 7 en 2013, ont obtenu 100% de résultats conformes. Elles sont suivies par la commune de Pirae (97% de conformité) et la commune de Punaauia (95% de conformité). Ces 7 communes représentent tout de même 49% de la population.
Les raisons de la mauvaise qualité de l’eau distribuée sont connues : absence d’installations de traitement adaptées et efficaces des ressources en eau, mauvaise exploitation des installations liée à une carence en personnel technique qualifié, vétusté des ouvrages existants, utilisation exclusive de captages d’eaux superficielles, etc.
S’agissant des fontaines publiques, seules les fontaines de Temae et Nuuroa à Moorea ont continué à fournir une eau d’excellente qualité. Aucune fontaine de Tahiti n’a délivré une eau de qualité conforme en permanence. A ce jour, 11 atolls des Tuamotu possèdent une centrale de production d’eau potable en fonctionnement, en cours de travaux ou en projet au titre du contrat de projet.
La qualité des eaux distribuées par les communes de Polynésie française est encore très disparate et il est relevé une baisse de la qualité des eaux distribuées entre 2013 et 2014. La réalisation de travaux contribue à une amélioration de la qualité des eaux de consommation mais les efforts et les investissements doivent se poursuivre.
Le recours à des outils d’aide peut également s’avérer nécessaire, tels que le projet PAPE proposé par le syndicat pour la promotion des communes de Polynésie française et les Plans de Sécurité Sanitaire des Eaux (PSSE), outil préconisé par l’OMS (Organisation mondiale de la santé) depuis 2004, présenté par la Direction de la Santé - Centre d’hygiène et de salubrité publique aux communes équipées de réseaux de distribution d’eau en août 2014 dans le cadre d’un forum.
Source : communiqué de la Présidence