François Hollande s'est posé à Tahiti puis est reparti pour Wallis

L'avion est arrivé à 4h40.
L'appareil du président de la République s'est posé avec 20 minutes d'avance. A l'issue de l'escale technique, Francois Hollande s'est envolé pour Wallis et Futuna à 5h45 avec un autre avion. Mais le chef de l'Etat pourrait revenir de Wallis avec 2 heures d'avance, à cause du mauvais temps.
L'appareil présidentiel s'est posé 20 minutes avant l'heure annoncée. Après avoir changé d'avion, pour un Falcon cette fois-ci, François Hollande est reparti à 5h45 pour Wallis et Futuna. Mais là-bas, sa visite sera certainement raccourcie, la faute au mauvais temps. Car à Futuna, il y aurait par moments de fortes rafales. Les deux Falcon présidentiels ne pourront pas se poser sur la petite île si les vents dépassent les 10 nœuds et c’est actuellement le cas…

1 heure après son arrivée, le Falcon du président est reparti pour Wallis.

Un 2e Falcon a décollé à 5 minutes d'intervalle.

Retour avec 2 heures d'avance


C’est une information qui a été communiquée par les services de l’Elysée aux journalistes qui suivent la visite de François Hollande en Polynésie. Du coup, le président reviendrait ce soir à Tahiti, plus tôt que prévu. A 21 heures selon le service de presse de l’Elysée au lieu de 23 heures, comme indiqué dans le programme initial.
Certains journalistes ont aussi pris l’avion pour Wallis et Futuna mais la plupart d’entre eux sont restés à Tahiti. L’Elysée leur a donc concocté un petit programme avec une visite du marché de Papeete ce matin, et un déjeuner dans capitale avant un petit point presse en fin d’après-midi, aux alentours de 18 heures. Car il y a environ une trentaine de journalistes de la presse nationale qui suivent ce déplacement présidentiel.

Pau Langevin et Dosière


Dans le sillage de François Hollande, ce matin,des élus tels que la ministre des Outremer George Pau Langevin, qui reste à Tahiti aujourd’hui selon nos informations. Elle ne se rend pas à Wallis, tout comme le député socialiste René Dosière, spécialiste de la gestion financière des collectivités territoriales ou encore le sénateur Thierry Repentin, expert de la question du logement social.
Aux abords de l’aéroport, il y avait donc un dispositif de sécurité spécial, avec près d’une vingtaine de gendarmes et de militaires.

L'aéroport bien gardé.

La délégation présidentielle qui s’est envolée pour Wallis et Futuna a fait une escale de 3 quarts d’heure dans le salon d’Air Tetiaroa. L’autre partie de la délégation, qui ne le suit pas à Wallis, a été accueillie dans le salon d’honneur de l’aéroport pour être ensuite conduite dans un hôtel de la place.
Rappelons que la visite officielle de François Hollande en Polynésie débutera dès son retour ce soir de Wallis et Futuna, un retour qui pourrait être avancé de près de 2 heures.

©Polynésie 1ère