Te Fare Tauhiti Nui accueille une artiste à l’art profondément ancré dans ses racines polynésiennes et dans sa culture. Mélissa Prokop expose ses huiles jusqu’au au 03 octobre 2015
Mélissa Prokop a toujours aimé dessiner, et a commencé à peindre il y a une dizaine d’années lorsqu’elle s’est installée à Tahiti. Elle explore la peinture en autodidacte depuis plusieurs années, et se passionne pour cette discipline. Sa pratique de prédilection est l'acrylique sur toile.
Bien qu’on ne puisse enfermer l’art et les artistes dans une définition, Mélissa qualifie sont style de figuratif, tout en avouant continuer à apprendre, à expérimenter. Elle s’intéresse également depuis quelques temps à l’art abstrait et aux techniques mixtes telles que le plâtre, les collages, etc. Dans ses œuvres, Mélissa aime aussi « laisser un côté "esquisse" qui s'estompe en arrivant au sujet plus présent et travaillé ».
Ses œuvres légères naissent à partir de visages, d'images, de moments, de poésies et de rêves qui touchent l’artiste. Parmi toutes ces expérimentations artistiques, une constante domine : l’emprunte culturelle polynésienne, l’hommage aux peuples du triangle polynésien. Les sources d’inspirations se lisent dans les visages et les courbes, derrière les motifs, les regards, les couleurs. Rapa Nui, Hawaii et Nouvelle Zélande, Polynésie bien sûr, tracent le chemin d’un art entièrement dédié à cette culture ancestrale qui a voyagé à travers le Pacifique et qui a survécu sous différentes formes jusqu’à se poser sur sa toile.
Source : communiqué de la maison de la culture
Bien qu’on ne puisse enfermer l’art et les artistes dans une définition, Mélissa qualifie sont style de figuratif, tout en avouant continuer à apprendre, à expérimenter. Elle s’intéresse également depuis quelques temps à l’art abstrait et aux techniques mixtes telles que le plâtre, les collages, etc. Dans ses œuvres, Mélissa aime aussi « laisser un côté "esquisse" qui s'estompe en arrivant au sujet plus présent et travaillé ».
Ses œuvres légères naissent à partir de visages, d'images, de moments, de poésies et de rêves qui touchent l’artiste. Parmi toutes ces expérimentations artistiques, une constante domine : l’emprunte culturelle polynésienne, l’hommage aux peuples du triangle polynésien. Les sources d’inspirations se lisent dans les visages et les courbes, derrière les motifs, les regards, les couleurs. Rapa Nui, Hawaii et Nouvelle Zélande, Polynésie bien sûr, tracent le chemin d’un art entièrement dédié à cette culture ancestrale qui a voyagé à travers le Pacifique et qui a survécu sous différentes formes jusqu’à se poser sur sa toile.
Source : communiqué de la maison de la culture