Plus de 600 personnes ont répondu présents à la journée porte ouverte de l’Ifremer, dans le cadre de la fête de la science.
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Samedi 8 octobre, de 8h30 à 15h00, le centre de Vairao a accueilli des centaines de visiteurs. L’occasion pour les chercheurs de l’Institut Français de Recherche pour l’Exploitation de la Mer d’expliquer leurs travaux. "L'échange avec le public est très important", explique Benoît Beliaeff, le directeur du centre Ifremer du Pacifique, interrogé par Axelle Mésinèle.
Les chercheurs ont animé des ateliers et des stands à l'attention des jeunes et des moins jeunes. " Nous avons suffisament vulgarisé pour que ce soit à la portée de tous", précise Benoît Beliaeff. Un bon moyen donc pour l’Ifremer de mieux faire connaître ses missions.
En 13 ans, l’Ifremer a considérablement avancé sur ses recherches à propos du platax ou parapehue. En 2015, 27 tonnes de ce poisson ont été produites. L’institut continue de l’étudier pour connaître les conditions favorables à sa reproduction et pour qu’il résiste mieux à la maladie. C'est ce que nous exlique Margaux Crusot, ingénieur en aquaculture.
Lors de cette journée, un atelier sur le micro plastique a mis en exergue la pollution toxique du plastique se décomposant dans les océans. Des particules dangereuses pour la santé et que les huitres ne différencient pas du phytoplancton. Le micro plastique peut-il causer des difficultés de reproduction, ou raccourcir la longévité de ces dernières ? C’est l’objet du prochain projet d’étude de l’Ifremer.
IFREMER
Les chercheurs ont animé des ateliers et des stands à l'attention des jeunes et des moins jeunes. " Nous avons suffisament vulgarisé pour que ce soit à la portée de tous", précise Benoît Beliaeff. Un bon moyen donc pour l’Ifremer de mieux faire connaître ses missions.
IFREMER
En 13 ans, l’Ifremer a considérablement avancé sur ses recherches à propos du platax ou parapehue. En 2015, 27 tonnes de ce poisson ont été produites. L’institut continue de l’étudier pour connaître les conditions favorables à sa reproduction et pour qu’il résiste mieux à la maladie. C'est ce que nous exlique Margaux Crusot, ingénieur en aquaculture.
Lors de cette journée, un atelier sur le micro plastique a mis en exergue la pollution toxique du plastique se décomposant dans les océans. Des particules dangereuses pour la santé et que les huitres ne différencient pas du phytoplancton. Le micro plastique peut-il causer des difficultés de reproduction, ou raccourcir la longévité de ces dernières ? C’est l’objet du prochain projet d’étude de l’Ifremer.
L’Ifremer ouvre ses portes