Des champignons made in Tahiti ! Dans son laboratoire de Mahaena, Peter Heduschka fait des miracles. Avec des matières premières importées d'Asie et de Hollande, cet ancien agriculteur a choisi de se lancer dans la culture de pleurotes, et entend diversifier son offre.
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Du mycélium cultivé sur un substrat ! C’est le point de départ de la culture du champignon, une phase de greffe dont la recette est tenue secrète. Peter Heduschka fait partie des 50 producteurs au monde, formés en Thailande. Aujourd'hui, il nous livre quelques secrets :
Le champignon va s’imprégner et se nourrir de ce milieu de culture. Une manipulation délicate qui, si elle réussit représente déjà 50% du travail. L’embryon de champignon ainsi obtenu sera ensuite conditionné dans des sacs de 7 kg d’ un compost spécial.
Une période d’incubation qui verra ensuite les premiers champignons sortir des sachets.
Chaque sac peut produire 20kg de champignons à raison de 2 kg/jour. Pour l’instant, seules les pleurotes sont produites, mais Peter entend diversifier sa culture.
Peter estime que le marché polynésien du champignon peut facilement évoluer. Il a investi environ 25 millions cfp pour sa petite entreprise et fournit aujourd’hui les particuliers sur commande…
Le champignon va s’imprégner et se nourrir de ce milieu de culture. Une manipulation délicate qui, si elle réussit représente déjà 50% du travail. L’embryon de champignon ainsi obtenu sera ensuite conditionné dans des sacs de 7 kg d’ un compost spécial.
Une période d’incubation qui verra ensuite les premiers champignons sortir des sachets.
Chaque sac peut produire 20kg de champignons à raison de 2 kg/jour. Pour l’instant, seules les pleurotes sont produites, mais Peter entend diversifier sa culture.
Peter estime que le marché polynésien du champignon peut facilement évoluer. Il a investi environ 25 millions cfp pour sa petite entreprise et fournit aujourd’hui les particuliers sur commande…