Un lueur d'espoir pour nos compagnons à quatre pattes, si nombreux et souvent livrés à eux-mêmes par laxisme et désintérêt... Le Président Edouard Fritch a promis, courrier à l'appui, que le gouvernement va s'intéresser de près à la cause animale.
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Abandonnés, maltraités, affamés, entravés... Les chiens comme les chats en Polynésie française ne sont pas toujours les meilleurs amis de l'homme.
Les sept associations de la place travaillent d'arrache-pied grâce à de nombreux bénévoles pour venir en aide à ces animaux. Mais une question réside : que faire devant l'ampleur d'un problème qui devient environnemental et sanitaire, et qui détruit l'image du Pays auprès des touristes ?
Caroline Couturier, présidente de l'association pour le respect et la protection des animaux, a pu rencontrer Edouard Fritch. En retour, elle a reçu un courrier du président du Pays qui promet une démarche concertée Etat-Pays-Communes avec l'association afin d'"aboutir à terme à une évolution de notre socle juridique qui soit favorable à une meilleure gestions de nos animaux domestiques".
Le Président n'a pas encore dit comment, mais cet engagement signé redonne un peu d'énergie à tous ceux qui se battent au quotidien pour que les propriétaires de chiens ou de chats se responsabilisent un peu.
Même si cette lettre est une bonne nouvelle, " il ne faut pas s'arrêter à parler il faut passer à l'action", confie Teipo Homai, bénévole. Pour rappel, en Polynésie française, on dénombre 30 à 50 affaires de maltraitance animale chaque année.
La loi prévoit jusqu'à 2 ans de prison et 3 millions cfp d'amende pour l'individu qui violente un animal.
Les sept associations de la place travaillent d'arrache-pied grâce à de nombreux bénévoles pour venir en aide à ces animaux. Mais une question réside : que faire devant l'ampleur d'un problème qui devient environnemental et sanitaire, et qui détruit l'image du Pays auprès des touristes ?
Caroline Couturier, présidente de l'association pour le respect et la protection des animaux, a pu rencontrer Edouard Fritch. En retour, elle a reçu un courrier du président du Pays qui promet une démarche concertée Etat-Pays-Communes avec l'association afin d'"aboutir à terme à une évolution de notre socle juridique qui soit favorable à une meilleure gestions de nos animaux domestiques".
Le Président n'a pas encore dit comment, mais cet engagement signé redonne un peu d'énergie à tous ceux qui se battent au quotidien pour que les propriétaires de chiens ou de chats se responsabilisent un peu.
Même si cette lettre est une bonne nouvelle, " il ne faut pas s'arrêter à parler il faut passer à l'action", confie Teipo Homai, bénévole. Pour rappel, en Polynésie française, on dénombre 30 à 50 affaires de maltraitance animale chaque année.
La loi prévoit jusqu'à 2 ans de prison et 3 millions cfp d'amende pour l'individu qui violente un animal.