Le bras de fer débute entre le gouvernement et les syndicats qui appellent à la grève générale. Les patrons privilégient le dialogue et se désolidarisent du mouvement.
Une intersyndicale composée de cinq centrales est à l’origine d’un mouvement de grève générale jeudi 15 février pour protester contre le projet de réforme de la PSG.
Cette décision n’est pas du goût du patronat, qui jusqu’à présent a négocié avec le gouvernement aux côtés des instances représentatives des salariés, pour dénoncer le projet. Le MEDEF et la CPME ont fait parvenir des contre propositions au pays et prônent le dialogue social.
Les deux centrales se sont immédiatement désolidarisées des syndicats lorsque ceux-ci ont déposé leur préavis de grève commun. Elles dénoncent un déficit de proposition de la part des syndicat et parlent d’obstruction.
Olivier Kressman , président du MEDEF :
Cette décision n’est pas du goût du patronat, qui jusqu’à présent a négocié avec le gouvernement aux côtés des instances représentatives des salariés, pour dénoncer le projet. Le MEDEF et la CPME ont fait parvenir des contre propositions au pays et prônent le dialogue social.
Les deux centrales se sont immédiatement désolidarisées des syndicats lorsque ceux-ci ont déposé leur préavis de grève commun. Elles dénoncent un déficit de proposition de la part des syndicat et parlent d’obstruction.
Olivier Kressman , président du MEDEF :
Le patronat déplore la grève générale et prône la reprise du dialogue
Le patronat déplore la grève générale et prône la reprise du dialogue