Sapinus est l'un des spots de surf réputé à Tahiti qui se situe à la pointe des pêcheurs à Punaauia.
William Teheiarii le sait bien, il habite en bord de mer depuis de nombreuses années, lui aussi vient surfer de temps en temps mais il aime surtout pêcher, alors la montée des eaux forcément ça l’inquiète.
Danielle Margrice aime venir se baigner dans cette zone, elle ne voit pas de grands changements pour l’instant mais est tout de même inquiète.
Paul Pere fervent défenseur de l’environnement et du lagon est très préoccupé par ce problème. Depuis de nombreuses années, il vit ici à Nuuroa et a remarqué de grands changements.
C’est en Egypte que les grandes décisions seront prises pour tenter d’endiguer les dangers qui menacent notre Terre.
Les plus grands dirigeants du monde sont présents sauf la Chine, pourtant grand pollueur de la planète, brille par son absence.
Les pays du sud auront besoin de plus de 2 000 milliards de dollars par an d'ici 2030 pour financer leur action climatique, dont près de la moitié venant d'investisseurs extérieurs, selon un rapport commandé par la présidence de la COP.
2 400 milliards de dollars par an
Ces investissements dans les marchés émergents et les pays en développement - hors Chine - doivent servir à "réduire les émissions, renforcer la résilience, faire face aux pertes et dommages causés par le changement climatique et restaurer les terres et la nature", selon ce rapport d'experts commandé par la présidence égyptienne de la COP27 et la présidence britannique de la précédente COP.
La somme totale nécessaire pour ces objectifs doit atteindre quelque 2 400 milliards de dollars annuels d'ici 2030, selon ce rapport publié au troisième jour de cette 27e conférence internationale sur le climat.
Sur ce total, 1 000 milliards doivent provenir de financements extérieurs grâce à des investisseurs, aux pays développés et aux institutions multilatérales. Le reste viendrait de financements intérieurs à ces pays, privés ou publics.