Les négociations sont terminées et un protocole a été signé, mettant ainsi un terme à la grève générale. Parmi les huit points de revendications de l’intersyndicale figurait la revalorisation du SMIG.
Il a été acté que le salaire minimum garanti augmenterait de 2% dès le premier décembre, puis d’un point supplémentaire en juillet et en décembre 2022.
Si au lendemain de la signature du protocole d’accord les opposants à l'obligation vaccinale annoncent qu'ils vont poursuivre leur mouvement de contestation et que les retraités valident la composition du conseil d'administration de la CPS, les employés au SMIG estiment que cette augmentation est insuffisante. « Ce n’est pas assez pour acheter des biscuits aux enfants », regrette Tamata, un chauffeur de bus rémunéré au salaire minimum.