Les soldes ont débuté mercredi 25 janvier. Au lendemain des intempéries, certains magasins sont contraints de brader leurs produits. Au moins 150 ont été touchés. Leurs stocks ne seront pas pris en charge par les aides du pays.
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Les soldes ont débuté mercredi 25 janvier. Jusqu’au 11 février, les commerçants affiliés à la chambre de commerce proposent des ristournes. Mais au lendemain des intempéries, certains magasins sont contraints de totalement brader leurs produits.
Shopping dans les rues de Papeete..
Le magasin five shop a comptabilisé 1881 vêtements et 497 sacs et accessoires mouillés, ou souillés par la boue. Rincés et séchés, les articles sont désormais vendus à moitié prix. Mis au courant grâce à une publicité, les clients affluent !
Un peu plus loin, près du marché de Papeete, les boutiques de tissus sont prises d’assaut ! Les couturiers professionnels ou amateurs investissent notamment le magasin Hawaii. Les propriétaires stockaient leurs rouleaux à même le sol, résultat : 70 % du magasin est perdu. Les « peru » (rouleaux carrés) sont vendus 2 000 F au lieu de 4 900 F. Le tissu passe de 980 F à 400 F le mètre carré !
Sur le front de mer, Michel Fouchard qui a monté son horlogerie il y a 47 ans, lui, doit faire face à des pertes sèches. Les piles pour montres et autres pièces détachées sont irrécupérables, la rouille a envahi ses outils électriques : difficile pour le commerçant de contenir sa colère, c’est la quatrième fois qu’il fait face à une telle inondation. Pour lui la mairie n’a pas appris du passé.
Au moins 150 magasins ont été touchés. La CCISM doit se réunir lundi pour faire le point. Mais déjà une mauvaise nouvelle : le stock des commerçants ne sera pas pris en charge par les aides du pays.
Shopping dans les rues de Papeete..
Le magasin five shop a comptabilisé 1881 vêtements et 497 sacs et accessoires mouillés, ou souillés par la boue. Rincés et séchés, les articles sont désormais vendus à moitié prix. Mis au courant grâce à une publicité, les clients affluent !
Un peu plus loin, près du marché de Papeete, les boutiques de tissus sont prises d’assaut ! Les couturiers professionnels ou amateurs investissent notamment le magasin Hawaii. Les propriétaires stockaient leurs rouleaux à même le sol, résultat : 70 % du magasin est perdu. Les « peru » (rouleaux carrés) sont vendus 2 000 F au lieu de 4 900 F. Le tissu passe de 980 F à 400 F le mètre carré !
Sur le front de mer, Michel Fouchard qui a monté son horlogerie il y a 47 ans, lui, doit faire face à des pertes sèches. Les piles pour montres et autres pièces détachées sont irrécupérables, la rouille a envahi ses outils électriques : difficile pour le commerçant de contenir sa colère, c’est la quatrième fois qu’il fait face à une telle inondation. Pour lui la mairie n’a pas appris du passé.
Au moins 150 magasins ont été touchés. La CCISM doit se réunir lundi pour faire le point. Mais déjà une mauvaise nouvelle : le stock des commerçants ne sera pas pris en charge par les aides du pays.
Soldes de janvier, les articles abimés seront bradés