Après l’effondrement accidentel de lundi 20 novembre, le ministère de la culture lance un programme de restauration et de valorisation du site. De nouveaux aménagements vont voir le jour d'ici fin 2018.
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Dans un communiqué publié jeudi 23 novembre le ministère précise que le marae va être entièrement restauré après l’effondrement d’une portion du ahu.
"Cette portion du marae avait fait l’objet d’une restauration sommaire en 2012, suite à un premier effondrement. Des travaux de plus grande ampleur vont donc être engagés afin de consolider les fondations des parois extérieures, qui sont soumises à la pression de la partie intérieure de la structure".
En parallèle une série d’aménagements devrait voir le jour pour permettre de mieux gérer les flux de visiteurs.
" Il s’agit de concilier le caractère sacré de ce patrimoine et la nécessité d’en faciliter sa visite selon un cheminement permettant d’en appréhender les éléments majeurs".
Une clôture sera installée côté ouest et un cheminement en dalles basaltiques sera mis en place pour canaliser les visiteurs.
L’aménagement paysager doit être revu, des arbres récents abattus et d’autres espèces endémiques replantées pour redonner au site son caractère sacré d’origine.
La plupart des ces travaux doivent être effectué d’ici fin 2018.
Retrouvez ci-dessous le communiqué intégral.
"Cette portion du marae avait fait l’objet d’une restauration sommaire en 2012, suite à un premier effondrement. Des travaux de plus grande ampleur vont donc être engagés afin de consolider les fondations des parois extérieures, qui sont soumises à la pression de la partie intérieure de la structure".
En parallèle une série d’aménagements devrait voir le jour pour permettre de mieux gérer les flux de visiteurs.
" Il s’agit de concilier le caractère sacré de ce patrimoine et la nécessité d’en faciliter sa visite selon un cheminement permettant d’en appréhender les éléments majeurs".
Une clôture sera installée côté ouest et un cheminement en dalles basaltiques sera mis en place pour canaliser les visiteurs.
L’aménagement paysager doit être revu, des arbres récents abattus et d’autres espèces endémiques replantées pour redonner au site son caractère sacré d’origine.
La plupart des ces travaux doivent être effectué d’ici fin 2018.
Retrouvez ci-dessous le communiqué intégral.
communiqué de la présidence de la Polynésie française