L'élan de solidarité de l'association UNIR Océan Indien. Des centaines de bénévoles s'affairent à la préparation de colis alimentaires. A l'intérieur de ces colis, des produits de première nécessité qui seront distribués demain, à des milliers de familles dans le besoin.
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Ils sont un peu plus de 200 à préparer minutieusement des milliers de colis alimentaires. Un travail à la chaîne et parfaitement organisé.
Depuis hier, ces bénévoles se répartissent les tâches dans le réfectoire de l'école centrale, au centre-ville de Saint-Denis. Parmi ces petites mains, Mariam, elle s'affaire pour que tous les colis soient prêts à temps. " Le fait de donner, on s'oublie un instant et on pense aux autres. C'est une petite goutte mais plusieurs petites gouttes font les rivières. Donc donner de sois et de son temps c'est très gratifiant".
Cette initiative a été lancée par l'UNIR Océan Indien qui s'engage quotidiennement en matière d'éducation, dans le social ou encore au niveau culturel. Une première opération de solidarité de ce type avait eu lieu en mai 2018 mais face à l'urgence sociale, l'association a décidé de renouveler cette action ce week-end.
Produits de première nécessité
Au total, 1 000 familles qui ont du mal à boucler les fins de mois recevront un colis complet de 15 kilos et d'une valeur de 30 euros contenant des produits de première nécessité. Riz, grains, huile, sucre, pâtes ... des produits offerts par des grossistes et particuliers.
Distribution des colis le 21 avril
Contrairement à la première édition, où l'opération était ouverte à tous, cette année, les colis seront distribués uniquement aux personnes détenteurs d'un bon. Pour cela, des justificatifs ont été demandés aux bénéficiaires comme l'explique Reshad Ingar, responsable de l'UNIR Océan Indien : "Nous avons invité les bénéficiaires à se présenter dans les locaux de l'association munis de différentes pièces dont notamment l'attestation CAF qui nous a permis de voir quel était leur quotient familial. A partir de là, nous avons délivré un bon. Sur la base d'un seuil fixé entre 600 et 700 euros de quotient par mois ".
Les familles pourront récupérer leurs colis dès demain entre 10h et 12h, à l'école Centrale à Saint-Denis et à l'AMAFAR aux Camélias.
Le reportage de Michelle Bertil et Marie-Ange Frassati :
Depuis hier, ces bénévoles se répartissent les tâches dans le réfectoire de l'école centrale, au centre-ville de Saint-Denis. Parmi ces petites mains, Mariam, elle s'affaire pour que tous les colis soient prêts à temps. " Le fait de donner, on s'oublie un instant et on pense aux autres. C'est une petite goutte mais plusieurs petites gouttes font les rivières. Donc donner de sois et de son temps c'est très gratifiant".
Cette initiative a été lancée par l'UNIR Océan Indien qui s'engage quotidiennement en matière d'éducation, dans le social ou encore au niveau culturel. Une première opération de solidarité de ce type avait eu lieu en mai 2018 mais face à l'urgence sociale, l'association a décidé de renouveler cette action ce week-end.
Produits de première nécessité
Au total, 1 000 familles qui ont du mal à boucler les fins de mois recevront un colis complet de 15 kilos et d'une valeur de 30 euros contenant des produits de première nécessité. Riz, grains, huile, sucre, pâtes ... des produits offerts par des grossistes et particuliers.
Distribution des colis le 21 avril
Contrairement à la première édition, où l'opération était ouverte à tous, cette année, les colis seront distribués uniquement aux personnes détenteurs d'un bon. Pour cela, des justificatifs ont été demandés aux bénéficiaires comme l'explique Reshad Ingar, responsable de l'UNIR Océan Indien : "Nous avons invité les bénéficiaires à se présenter dans les locaux de l'association munis de différentes pièces dont notamment l'attestation CAF qui nous a permis de voir quel était leur quotient familial. A partir de là, nous avons délivré un bon. Sur la base d'un seuil fixé entre 600 et 700 euros de quotient par mois ".
Les familles pourront récupérer leurs colis dès demain entre 10h et 12h, à l'école Centrale à Saint-Denis et à l'AMAFAR aux Camélias.
Le reportage de Michelle Bertil et Marie-Ange Frassati :